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     Gran Slam Factory

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    Eden

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    MessageSujet: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyJeu 15 Mai - 13:07

    C’est un Verdugo en costume trois pièces qui se présente devant la caméra.

    El Verdugo: Je suis Rafael de Vasconcello y San Martin Illiakov, je suis El Verdugo. Je ne combattrai plus sur un ring . Vous avez tous pu voir ma force et ma puissance , mais La faiblesse de la force est de ne croire qu'à la force. J’enseignerai plus que cela.Une grande dualité fait rage en moi , le bien et le mal . j 'ai longtemps été un serviteur zélé du mal ,j' ai adoré ça !  Voir la terreur dans les yeux de mes victimes me manquera . Mais j 'ai  la chance d assouvir mon plaisir de faire souffrir encore . Ce plaisir s 'offre à moi d’une autre façon , par le biais d’autres personnes et croyez moi je compte bien avoir beaucoup de plaisir à voir votre sang couler sous les coups et entendre vos os se rompre comme du bois sec .

    El Verdugo: Je reviens  donc en tant que manager -entraîneur pour servir la SOW . Oh, le mot servir vous à peut être interloqué ? El verdugo va se mettre au service de la SOW ? Oui avec grand plaisir et une extrême dévotion . La SOW  le royaume de l 'orgeuil et du mensonge ! Oui du mensonge ! Vous mentez tous , pire vous vous mentez à vous même !Les uns affirment qu 'ils sont les meilleurs , les autres qu 'ils méritent le respect due à leur passé dans cette fédération ou d 'autres, disparues ou obscures . Les nouveaux venus affirment qu 'ils vont tout conquérir , les titres , la gloire et les honneurs ! Orgueil pitoyable ! Vous êtes tous des rats , de la vermine puantes d orgueil qui inconsciemment ou refusant de voir la vérité en face est manipulé par un orgueil improductif. Tout n 'est qu’apparence.  J’avoue avoir parfois cédé moi-même à ce mensonge facile. Charlie Green aussi . Il était  comme tous ces chialeurs qui pullulent à la SOW genre : je suis un criminel parce que mes parents ont été tué , parce que ma petite amie est morte , parce que j 'ai pissé au lit jusqu' à l'age de treize ans ou toutes autres conneries du genre . Je vais lui faire aimer la violence comme on aime une femme.  Charlie adorera faire le mal . Charlie s’aimera pour ce qu’il est vraiment. Charlie n’aura plus aucune excuse .

    El Verdugo: Heureusement pour vous tous , une nouvelle ère approche . Il est temps d 'expier vos fautes et vos péchés . L 'heure de vérité réparatrice arrive. Le renouveau est entamé par l 'arrivée de ma Gran Slam Factory. Si vous voulez la rejoindre, nous ferons table rase du passée .Mon but ultime et unique sera de vous  montrer la voie. L’entraînement  et la vision de la lutte que je partagerai avec vous seront les  bourreaux de vos âmes salies. Je ferai tous ce qui est en mon pouvoir pour vous faire remporter des titres  pour les remettre en jeu face à des adversaires véritablement dignes . Je ferai de vous des Gran Slam Champions! Place à la puissance et à la vérité sans fard , dérangeante mais honnête car les faibles disparaîtront . Rejoignez moi et abandonnez votre existence de marionnettes manipulables ,de carpettes , de moutons obnubilés par leur misérable ego ! Ce changement est nécessaire , indispensable . Les justes auront leur place , les sympathisants de l 'incompétence malhonnête  seront sévèrement éradiqué de l 'univers de la SOW . Éradiqués par vous! Je vous promet de faire tous mon possible , je ne ménagerai ni mes efforts , ni ma volonté. Je mettrai à votre service mon expérience, mon éloquence pour servir votre destinée de Gran Slam Champion . Je vous assure mes chers frères que la SOW sera enfin telle qu 'elle doit être : un enfer pour les inconséquents et les esprits faibles qui se complaisent dans la facilité. Je vais vous jurer quelque chose ,! je vous jure , que c 'est sans haine et sans colère que  les membres de la factory vont vous vous combattre . Que c 'est sans haine et sans colère qu’ils vont tous vous faire incroyablement souffrir .Que c 'est sans haine et sans colère qu’ils  anéantiront tous ceux qui leur feront face , ou qui se dresseront devant la mission divine qui les a fait venir chercher mes conseils . On dit que la menace est souvent moins redoutable que l'action . Mes actions seront impitoyables . Les leurs pires encore! Je les ferai travailler durement et j 'ai bien peur que pour vous qui me rejoindrez ,les entraînements seront comme des combats de PPV ! Bonne soirée mes frères combattants, c 'est vraisemblablement la dernière de vos misérables vies truquées de lutteurs indignes .

    El Verdugo: Une dernière chose: Lutteurs de la SOW , n 'ayez aucune pitié pour Charlie Green ! Ne retenez pas vos coups ! Tapez aussi fort que vous le pourrez . La victoire ne serait rien sans adversité . Charlie va vous étonner , vous effrayer par sa faculté de récupération et par sa science de la lutte acquise mais ignorée jusqu‘à présent,emprisonné qu’il était dans le confort criminel du titre intercontinental dont on l’a trop longtemps fait stagner. Plus que la peur , il va vous inspirer du respect ! Le respect , il s 'engage à en avoir pour vous sur le ring . De quelle façon ? Trés simple : en combattant à son maximum , en vous broyant , il vous détruira comme un guerrier affrontant un autre guerrier. Vous êtes tous des gladiateurs , la défaite est une sorte de mort . Je vous salue lutteurs de la SOW ! Je salue ceux qui vont souffrir des mains de CHARLIE GREEN !
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    Charlie Green
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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyVen 16 Mai - 13:50

    El Verdugo a donné rendez-vous à Charlie Green dans un gymnase. Il lui a demandé de venir avec son masque sur le visage. Le colombien est déjà là lorsque Green arrive et il entame directement la conversation.

    El Verdugo: A ton avis, pourquoi t’ai-je donné mon masque ?

    Charlie Green: C’est une sorte de relais ? Pour que je perpétue ta violence ?

    El Verdugo: Ne joue pas à ça avec-moi si tu veux que l’on continue ensemble! Pourquoi?

    Charlie Green: Pour que mes masques tombent, J’en ai eu d’innombrables…tous vraiment pitoyables. À chaque fois un autre apparaissait lorsque le précédent tombait. Derrière il n’y avait rien de moi. Ces masques ne cachaient que ma colère improductive. Je me suis menti à moi-même. La conquête rapide de mes titres a détruit ma violence. Je me suis satisfait de cette gloire éphémère.

    Le colombien sourit.

    El Verdugo: Un jour ce masque tombera, tu n’as plus le choix. Assume ce que tu es sans te soucier du jugement des autres. Déteste les sans faux semblants, ne te laisse pas submerger dans la comédie pathétique des discours en promo. Dis-toi que personne ne veut comprendre qui tu es. Laisse les dans l’ignorance. Seul toi dois savoir. Trompe-les s’ils sont stupides. Raconte leur ce qu’ils veulent entendre: des menaces, des insultes, des promos stéréotypées. Mais toujours tu dois comprendre que tous cela est vain. La seule vérité est sur le ring.

    Charlie Green: Si tu savais comme je les méprise, les déteste. Ma colère va de pair avec ce goût amer. J’ai envie de vomir quand je repense à mes dernières défaites. Cette haine, je vais la contrôler la changer en détermination. Je vais déchaîner ma violence pour qu’elle dévaste mes erreurs . Je me suis traîné seul dans la boue mais crois moi ,je ne tendrai plus l’autre joue. Je les attends les poings fermés. Je connais la douleur, ses conséquences et je compte bien les leur faire endurer.

    Charlie est véritablement libéré.

    Charlie Green: Lutteurs de la SOW , Mon sang ne coule pas comme le vôtre, mes blessures ne seront pas comme les votres. A la vue de mes souffrances mon esprit se raidira sous ma puissance. Ni le bien ni le mal ne triompheront de moi. Seule ma fureur, ma volonté et ma violence guideront mes pas, guideront mes poings vers vos gueules ce cons! C’est en marchant sur vos corps meurtris que je ferai mon chemin vers la gloire,vers mon destin.

    El Verdugo: Bien! Je pense que nous allons pouvoir travailler sur de bonnes bases. Il reste du travail mais Rome ne s’est pas faite en un jour. Le premier entraînement est presque terminé.Juste une dernière chose à connaître sur toi.

    Le Géant va chercher une pelle et la jette aux pieds de charlie Green.

    El Verdugo: Fous moi un grand coup dans la gueule!

    Charlie regarde la pelle un peu interloqué puis le visage de Verdugo.

    El Verdugo: Prend cette pelle et défonce moi la gueule!

    Charlie ne prend pas la pelle mais envoie un direct en plein dans la face de l’ancien lutteur. Après avoir essuyé son nez ensanglanté le colombien tend la main a Charlie.

    El Verdugo: Parfait Bienvenue à la Gran Slam Factory Charlie Green! A demain!

    Le géant s’éloigne en épongeant de nouveau son nez.

    Charlie Green: hey ! Et si j’avais ramassé la pelle?

    Le colombien répond sans se retourner.

    El Verdugo: Charlie le loser l’aurait ramassé, pas le vrai Charlie Green!
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    Eden

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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptySam 31 Mai - 5:04

    El Verdugo est assis à son bureau, il a les yeux fermés mais il ne dort pas car sa main droite remue doucement un verre de fine Napoléon. C’est avec une voix monocorde qu’il invite à entrer lorsque on frappe à la porte. Livia Orientale et Eve Jensen pénètrent alors dans le luxueux bureau du Gran Slam Champion devenu Manager.



    El Verdugo: Bonjour mesdemoiselle! Que me vaut l’honneur d’une si charmante visite?



    Livia: Nous venons aux nouvelles. Pour que tu nous donnes plus de précisions sur la Factory.



    Eve: Oui, savoir quels sont vos impressions après le mauvais départ de vos poulains et si d’autres lutteurs sont succeptibles de vous rejoindre.



    Le colombien ferme de nouveau les yeux et arbore un sourire satisfait.



    El Verdugo: ma chère Eve, si par mauvais départ, vous évoquez les défaites de Carrie et Charlie et bien vous faites fausse route. Ces échecs sont en fait la meilleures choses qui soit. Gagner aurait pu leur laissé croire que le chemin vers la gloire et les titres est une formalité. Leur implication mentale et physique serait alors altérée. Perdre entre dans l’équation, ils ne doivent jamais l’oublier. Par contre ils doivent mettre tout en œuvre pour résoudre ce problème.Cela passe par un entraînement intensif et une connaissance autant objective que complète de leur adversaire potentiel. Pour cela, mon rôle est de retirer tout les paramètres parasites qui gèneraient leur travail.

     

    Livia: Comme quoi?



    El Verdugo: Comme la gestion des relations avec la direction. Je m’occupe de l’orientation de leur carrière et du choix de leurs opposants. Eux n’ont plus qu’à se focaliser sur comment leur peter la gueule.



    Eve: Pourquoi avoir choisi Charlie en tout premier choix?



    El Verdugo: Je me vois en Charlie. Il a un potentiel énorme qu’il serait criminel de ne pas exploiter. J’ai personnellement vécu cette ignorance . Par ma faute parfois, par celle de la direction souvent. Ma liberté et mes provocations répétées m’ont fait attendre trop longtemps dêtre Sow Champion par exemple. Je ne veux pas cela pour Charlie. Je ne veux pas qu’il omette les même erreurs et surtout je ne veux plus qu’on le cantonne dans un placard doré comme l’intercontinental dont il a été prisonnier trop longtemps. Il sera le Gran Slam Champion le plus rapide de l’histoire, j’en suis convaincu.



    Livia: Moi ce qui m’étonne c’est que tu ais accepté Carrie après ce qu’elle ta fait.



    El Verdugo sursaute un peu et grimace.



    El Verdugo: Carrie est une salope! Carrie a réussie là ou tant de monde à échouer, elle est parvenue à rendre une partie de moi humaine donc mortelle. Mon cœur. Il se consume doucement mais sûrement. Une chose est certaine, c’est Carrie qui me tue inexorablement. Carrie prés de moi, c’est ma mort annoncée. Carrie loin de moi c’est déjà la mort.



    Le colombien est parcouru d’un frisson agréable.



    El Verdugo: Carrie est mon bourreau , mon amour. Carrie est ..Carrie.



    Eve: Desirez vous voir d’autre lutteur rejoindre votre clan?



    El Verdugo: La Factory n’a pas pour but d’être un clan. La factory est une somme d’individualité. Ici pas d’alliance, c’est chacun pour soi et Verdugo pour tous! D’ailleurs il n’est pas impossible et d’ailleurs fort probable que les lutteurs de la Factory se combattent. Si je pense que l’intérêt de l’un est de combattre contre un autre, je réclamerai cette confrontation.



    Livia: Donc aucune alliance?



    El Verdugo: Aucune! Personne n’interviendra si un membre se fait attaquer. Même moi qui serait le plus souvent rings ide je n’interviendrai si un de mes lutteurs se fait agresser. Cela fait partie de la formation ahahah! C’est pourquoi des personnalité diamétralement opposées peuvent me rejoindre. J’aimerai bien avoir Timothée par exemple. Même si son palmares est encore plus mince que le vocabulaire de Black Lotus, j’aime bien cet enfoiré. C’est un des rares de la SOW capable de gagner un match avec sa langue. J’aime son style, ça change un peu des handicapés du vocable qui fourmillent dans cette fédération. Je vais l'appeler bientôt pour savoir s'il est interressé.



    Livia: Des rumeur parlaient aussi de Sylvain Primeau, de Fred Booya, De Sex Bomb ou encore Edward Blackbuerry!



    El Verdugo: Fausses rumeurs, je n’ai eu encore aucun contact avec ses mecs. Quoi que j’avoue qu’une Factory comptant en son sein ED, Timothée, Carrie, Charlie et sly ça aurait quand même plus de gueule que le Bestiaire de ce Pauvre Darkside.



    Eve: Et Booya et Sex Bomb?



    Le colombien lève le doigt pour faire attendre les interwieuveuses un instant puis reprend.



    El Verdugo: Sex Bomb m’indiffère et je crois que c’est réciproque. C’est un connard seulement préoccupé par son nombril et qui sautera sur la moindre opportunité pour accroître sa renommée. D’ailleurs je reconnais que c’est une bonne façon de voir les choses. Sex Bomb N’a besoin que de lui-même. Quand à Fred Booya, il a un manager bien meilleur que moi: Sa malette! Dès que l’occasion se présentera il sera Le nouveau Sow Champion. Intrinsèquement il l’est déjà.



    Livia: Quels sont tes projets immédiats?



    Le colombien grimace un peu puis à un long soupir.



    Livia: Tu te sents bien? Tu es bizarre depuis notre arrivée.



    C’est alors que Carrie sort de sous le bureau.



    Carrie: Bonjours les filles et au revoir. Rafael va être occupé pour un moment. Echange de bon procédé n’Est-ce pas Raf ?



    El Verdugo: Il ne me viendrait pas à l’esprit de te contrarier ma…chérie . Au plaisir de vous revoir mesdemoiselles.



    Livia et Eve sortent du bureau dépitées et entendre deux grands éclats de rires à travers la porte.

     

     
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    Eden

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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyMar 10 Juin - 8:57

    Verdugo est assis sur une chaise longue au bord de sa luxueuse piscine. Il joue avec un couteau à la lame effilée.



    El Verdugo: Douce Pétale, misérable Pétale, tu fais pitié à voir. Si j’avais la moindre considération pour toi j’aurai pitié moi-même. Si tu avais la moindre considération de ta propre personne, tu aurais pitié de toi. Te revoilà donc! Oui tu es là, affirmant que tu n’es jamais partie. Tu es toujours là mais tu n’as plus de place. La grande pétale, la Crazy Bitch, n’est plus qu’une pétasse lambda, la misérable putes remisée au fond d’une rue sombre.



    El verdugo s’entaille les veines du poignet et fait couler son sang dans un verre de cristal.



    El Verdugo: Tu n’es plus rien Pétale, alors tu recherches l’attention d’ancien maître comme Darkside. Veux tu encore être marqué au fer rouge du bestiaire? Veux tu être le mouton que l’on manipules, la chienne qui lèche la main qui te frappe? Veux tu rejoindre ce bestiaire ou plutôt ce troupeau composé d’un bétail que tu ne connais même pas…que personne ne connaît ? Te vois tu t’associer avec le cheptel de Darkside et intervenir pour sauver un lutteur qui ne vaut pas un centième de ta valeur parce que Le vacher en chef te l’aura ordonné? Si tu veux redevenir une serpillière alors va présenter ta croupe à Darkside.



    Le verre est désormais complètement rempli et le colombien le tend face à la caméra.



    El Verdugo: Ou alors tu peux être à moi . Proche de moi, au plus près de l’ennemis. Quand je parle d’ennemis, je parle de tous le monde en m’y incluant ainsi que tous les membres de la Factory. Si tu viens à moi, je te promet la chose que tu préfères. La violence, la vengeance, la jouissance que te procurera l’espoir de me détruire et de te rassasier de mon sang, cette drogue dure dont tu raffoles.



    Le gran Slam Champion laisse tomber le verre.



    El Verdugo: Oups! Quel dommage! Ne t’inquiète pas, il en reste encore plein mes veines. Tu veux me gouter? Alors rejoins la Factory, viens te faire détester par Charlie et Carrie. Ta présence persuadera peut être Sly ou Timothée. La perversité de la Factory devrait te plaire. Chez moi, on applique l’adage Garde tes amis proches de toi et tes ennemis encore plus prés. La différence avec Darkside est infime, ici tu pourras te battre avec les autres membres, par contre, ton traitement sera le même. Tu feras ce que je te dirai, ton cul sera à moi. Cet soumission te permettra d’assouvir tes pulsions, toutes tes pulsions. Tu veux tuer Carrie? Il n’est pas interdit d’essayer. Tu veux arracher les burnes de Sly ou les lui lécher? Je ferai en sorte de te les servir sur le ring.



    Le géant se barbouille le corps du sang qui s’écoule toujours de son poignet.



    El Verdugo: Tu veux te servir toi-même? Tu veux goûter ? Il va falloir jouer les petites chattes dociles avant de pouvoir espérer me griffer. Crois moi, tu auras bien cette opportunité un jour ou l’autre.
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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyMar 24 Juin - 9:56

    A cette heure tardive, la discothèque se vide doucement, ne laissant plus là que quelques belles filles entourant les VIP dans le quartier chic du club. D'ailleurs, les jeunes femmes s'en donnent à cœur joie, il y en a près d'une dizaine qui entoure le célèbre Sex Bomb.

    Non mais attends là, c'est quoi ce délire ? Qu'est ce qu'elle lui trouve ? En fait la question n'est pas là. Juste que l'atmosphère est étrange. Les filles sont magnifiques et semblent totalement subjuguées par cet homme. Pourtant, il est plutôt dans un mauvais jour, mal coiffé, mal fringué... et apparemment il a plus que sa dose de whisky ce soir. Alors que les demoiselles commencent à l'embrasser langoureusement et à se frotter à lui et entre elles, Bomb se croit au paradis. Mais c'est trop beau pour être vrai. Et puis, n'est-il pas déjà en couple ce cher Casanova ? Peu importe, alors que la situation dégénère en partouze, il sent soudain ses poignets entravés par du métal. Puis ses chevilles. Les garces ! Le voilà prisonnier ! En caleçon et chaussettes qui plus est ! Il sent immédiatement qu'il a à faire avec une entité maléfique, mais laquelle ! Il y en a tellement à la SOW....Ce n'est pas Pétale, elle lui aurait déjà sauté dessus... Il allait insulter Darkside quand soudain c'est une autre voix féminine, qui se manifeste :


    Carrie : il n'est pas là.

    Sa silhouette se détache de l'obscurité. Elle est en tailleur très strict, tellement strict que ça lui donne l'allure d'une maîtresse d'école. Il est presque prêt à parier qu'elle est capable de sortir une grande règle en bois pour lui taper sur les doigts... Mais est-ce bien le moment de fantasmer ?

    Sexy : hey ho, on se calme! Je ne t'ai rien fait moi! Je ne veux plus rien savoir de ces choses de vampires! Est ce que tu es en train de manipuler mes pensées dans mon cerveau durant mon sommeil ou quoi?

    Carrie le fixe, mais ne répond pas.

    Sexy : parce que si c'est seulement un rêve de mon imagination, je dois dire que c'est la première fois que je m'imagine attaché à un lit. Je suis plus du genre dominant que dominé......If You know what I Mean?!

    Sex Bomb lance un gros sourire vers Carrie, mais cette dernière reste de glace.

    Sexy: ok, la je ne suis plus sur! Une chose qui est sur c'est que tu es vraiment hot habillée comme ça! C'est pour ça que je me dis que ça doit être un rêve, tu es trop canon!! D'un autre côté, pourquoi je serais attaché? Il y avait plein de filles avec moi plus tôt et elles ont toutes disparu? Est-ce que tu es capable de me répondre ou je dois tout trouver seul?

    Carrie lève un sourcil interrogateur, sur ses lèvres s'étire un petit sourire moqueur...

    Carrie: attaché ? Pourquoi aurais-je besoin de t'attacher? Tu es libre d'aller et venir, de t'imaginer cette scène ou de la vivre réellement. Selon toi, quel scénario est le plus probable? Que j'intervienne dans tes rêves ou que je sois réellement là, dans cette boîte branchée, à t'observer forniquer avec ses filles qui ne veulent que vider ton portefeuille? A ton avis? Pourquoi suis-je là?

    Sex Bomb regarde ses poignets, effectivement les liens ont disparu, il n'y a même pas une rougeur ou un quelconque souvenir physique de ces menottes. Il se tient la tête quelques secondes puis s'avance vers elle, mais il garde une distance raisonnable de sécurité.

    Sexy: alors je suis en train de rêver? Mais pourquoi toi? On ne se connait même pas! C'est tout juste si nous nous croisons au sanctuaire... Quelqu'un t'a envoyé? Parle!

    Carrie se met à rire et se dirige à nouveau vers l'obscurité. Une fois disparue, elle chuchote:

    Carrie: la réponse, tu la connais déjà. Quand tu seras prêt, nous nous reverrons pour parler de tes projets. Et des miens.

    Sexy: quels projets ? Quels projets???

    La réponse ne vient pas. Carrie est repartie. Et Sex Bomb se retrouve tout seul dans son rêve, il n'est plus dans une boite branchée mais dans un grand entrepôt abandonné, en caleçon et chaussettes. La sonnerie du téléphone le tire de ce rêve énigmatique...
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    Eden

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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyJeu 3 Juil - 14:02

    Verdugo est dans une cuisine tout équipé au luxe certain mais sobre. Il fait cuire des œufs au bacon. Il s’adresse alors à une enfant que l’on ne voit pas à l’image.

    El Verdugo: Je fais ça pour te faire plaisir ma chérie, mais je ne sais pas si maman serait d’accord. Il y a plus équilibré comme déjeuner pour une jeune fille de ton age!

    L’enfant: Je mangerai des légumes ce soir! Elle vient quand maman?

    El Verdugo: Maintenant, je pense qu’elle ne devrait plus tarder à venir.

    Le colombien met sa préparation dans une assiète puis la porte devant la fillette attablée. C’est Laurence, la fille de Pétale Orientale.

    El Verdugo: Fais attention, c’est chaud! Tu devrasi attendre une minute ou deux.

    Le colombien se place derrière Laurence et pose affectueusement ses mains sur les épaules de la fillette puis s’adresse à la caméra.

    El Verdugo: Ma chère Pétale, Laurence est si impatiente de te revoir après un séjour si long chez son père. Pauvre Slegh, il a été victime d’une agression aussi gratuite que violente. Fort heureusement je me trouvai dans le secteur et j’ai donc recueilli la pauvre Laurence qui est en manque d’amour maternel.

    Laurence: Maman, tu viens vite?

    El Verdugo: je vais aller la chercher si tu veux!

    Laurence: Ma mère n’est pas débile, elle sait où tu habites! Je peux manger mes œufs au bacon maintenant?

    El Verdugo: Charmante enfant. Vois Pétale, comme elle à faim!

    Le visage de Verdugo se métamorphose et ses dents de vampire apparaissent, acérées et brillantes. Il caresse de son index la jugulaire de laurence.

    El Verdugo: J’ai moi-même très soif Pétale! Il faut vraiment que tu te dépêches. Tiens je vais faire un effort, je t’envoie mon chauffeur accompagné de mon avocat. Il a un contrat à te faire signer. hahahahaha!

    Laurence: pourquoi tu ris comme un débile?

    El Verdugo: C’est la joie mon enfant! Car dorénavant, on va se voir très souvent.

    Laurence: pourquoi?

    Verdugo passe sa langue sur ses crocs.

    El Verdugo: parce que ta maman et moi, on va travailler ensemble pendant un certain temps!

    Laurence: Oula, je suis pas sûr de ça. Je suis la seule de la famille qui peut te blairer.

    El Verdugo: Surveillez votre langage jeune fille. Vous savez bien que votre mère n’aime pas quand vous parlez mal! Oui ta maman va travailler avec moi…maintenant ça ne fait aucun doute. N’Est-ce pas Pétale?

    Le visage du colombien se penche vers le cou de Laurence puis l’image se coupe.
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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyLun 7 Juil - 15:36

    L’image s’ouvre sur un grand fracas. Un corps atterrit sur le sol, à travers des morceaux de verre brisé. Son visage est massacré. On peut maintenant voir des pieds nus, qui marchent sur les bouts de vitre. La caméra remonte un peu le long de jambes aussi nues, et nous voyons à présent une main refermée avec rage sur des papiers. La caméra recule un peu et il est à présent possible de reconnaitre Pétale. Du moins on devine qu’il s’agit d’elle, puisque ses cheveux roux cachent son visage presque entièrement. On peut néanmoins le voir assez pour remarquer qu’il n’est pas le même qu’habituellement. Elle se penche pour ramasser un gros bout de verre, qu’elle apporte avec elle. La rousse vêtue d’une simple robe blanche quasi transparente devait être en train de profiter du soleil quand l’avocat et le chauffeur de son « frère » sont arrivés pour la cueillir. Elle regarde le corps inerte au sol avec une haine profonde, qui n’est pourtant pas dirigé vers lui. L’avocat n’est que le messager, après tout.

    Elle inspire longuement. Son corps tremble de la racine de ses cheveux au bout de ses orteils. La rousse doit faire des efforts surhumains afin de reprendre son calme – et son apparence. Une fois que son visage revient à lui, la rousse repousse sa tignasse sans délicatesse, aucune. Elle passe sa langue sur ses lèvres, puis elle serre le poing sur le morceau de verre. Ses pieds et sa main saignent légèrement, et la rousse serre les dents. Elle se met à marcher, suivant son odorat. C’est au salon que Laurence l’attend, couchée sur un sofa. Pétale ne s’en approche pas. Elle entend d’où elle est le battement du cœur de l’enfant, probablement épuisée après avoir trop joué (ou parlé).

    La rousse tourne les talons et marche machinalement vers la piscine, où elle trouve El Verdugo, fièrement installé, les pieds dans l’eau, torse nu, le bas de son pantalon roulé afin de ne pas le mouiller. La rousse le regarde avec un mélange de tellement de sentiments qu’une personne normale aurait sûrement la tête qui tourne. Mais elle se tient droite comme un monument. Inébranlable, elle continue de le dévisager, jusqu’à ce que ses yeux croisent les siens. Elle maintient le regard alors qu’il sourit, content de sentir l’état dans lequel il l’a foutue.

    La rousse s’approche du bord de la piscine, puis place la boule de papier entre ses dents, le temps de s’entailler l’intérieur de la main au dessus de l’eau avec la vitre qu’elle avait ramassée. Elle regarde le sang couler, et n’est forcément pas la seule. De l’autre côté de la piscine, le colombien n’en manque pas une goûte, suivant d’ailleurs celles qui tombaient jusque dans l’eau. La rousse reprend la boule de papier, la défroisse d’une main, et plaque sa paume en sang sur le contrat, qu’elle laisse tomber à ses pieds. Elle essuie sa main sur sa robe blanche, et regarde à nouveau le géant.


    Pétale : Attends pas de moi que je fasse la « gentille petite chienne », tu vas être crissement déçu.

    Le géant se lève, s’approche doucement vers Pétale et se place très près d’elle. Il renifle son odeur, un mélange de rage et de sang. La vampire n’esquisse pas le moindre geste quand le colombien se saisit du morceau de verre qu’il frotte contre sa langue.

    El Verdugo: Parfait, contrat signé! Tu es désormais ma méchante petite chienne. Tabasse qui tu veux, baise qui tu veux, mais n’oublie pas que ton sang sur le contrat signifie que ton cul est à moi et cela pour un temps que je déterminerai.

    Le colombien s’entaille le torse et remet le morceau de verre dans la main de Pétale qui reste impassible le regard fixé sur le sang qui s’écoule de la plaie du vampire.

    Pétale: Je sais pas ce que t'avais en tête et ça m'importe autant que ce que Yan Yungsung a pu manger ce matin, mais une chose est certaine c'est que t'as pas idée dans quelle merde tu t'es foutu les deux pieds. Avant que tu t'en rendes compte tu seras en train de t'y rouler comme le porc que t'es.

    Durant tout ce temps, elle n'a pas quitté des yeux le torse du géant. Elle finit par le faire, pour regarder tomber le morceau de vitre qu'elle vient de lâcher malgré l'envie de lui taillader la face avec.

    Pétale: Et si jamais tu touches à ma fille, à un seul de ses petits cheveux blonds, j'vous envoie en vacances chez ton beau-père adoré, ta petite famille parfaite et toi.

    El Verdugo: Parfaite est le mot juste. Dans cette famille, on ne laisse pas les enfants à la merci d’un étranger. Même les truies prennent mieux soin de leurs petits que toi.

    Le Vampire reste de marbre.

    El Verdugo: Ça fait plus mal qu’un vampire Sword de se faire traiter de mère indigne non? Ramasse donc ce bout de verre et taillade donc ma face de fils de pute. Je sais que tu en brûles d’envie. Mon jardinier est avec Laurence, lui il a envie de lui montrer une tradition bien de chez nous. On utilise une tronçonneuse. Tu veux plus de détail?

    La rousse regarde à nouveau le sang, dont la vue devient de plus en plus insupportable. Elle serre les dents et les poings avec une agressivité énorme. Son regard devient de plus en plus sombre. Un battement de paupières suffirait pour prendre le bout de vitre au sol, mais elle reste pourtant bien droite. Les idées se bousculent dans sa tête, et son corps s'engourdit lentement alors qu'elle continue de fixer le torse du géant. Elle finit par sourire. Un sourire doux, presque rassurant.

    Pétale: Quel étranger? Je veux bien croire que son père n'est pas très présent dans sa vie et qu'il ne l'a avec lui qu'une fois par année, mais il n'est pas un étranger!

    Elle ricane doucement, puis penche la tête vers la gauche.

    Pétale: T'aimerais beaucoup trop que j'essaie de te défigurer. Je ne te donnerai pas cette satisfaction-là. Comme je te donnerai pas celle-ci.

    Elle sourit avant de lécher sa paume ensanglantée.

    Pétale: En fait, je te refuserai tout ce que tu voudras. Quitte à ce que ça me rende folle moi aussi. Il est plus que temps que quelqu'un tienne son bout face à toi.

    El Verdugo: par contre avec moi, tu auras tout. L’envie, la frustration, la colère enfin bref, je ne vais pas te faire la liste des péchés capitaux.

    Le Colombien passe ses doigts sur la plaie de sa poitrine puis rapidement les passe sur les lèvres de Pétale.

    El Verdugo: C’est bon non? Ça  brûle la gorge, ça décuple la rage aussi!

    Le timing est parfait car Laurence apparaît au bout de la terrasse avec le « jardinier »: Eden, la fille du colombien et de Carrie. Les fillettes rient aux éclats et semblent bien s’amuser.

    El Verdugo: oh, quel dommage, ta petite fille va-t-elle voir la vraie nature de sa douce maman? Lâche toi Pétale, mon sang est si adictif, étanche ta soif ahahahahahah!

    Laurence aperçoit alors sa mère, Pétale veut la rejoindre pour se libérer de la tentation mais Verdugo la retient discrètement par le poignet.

    El Verdugo: Que tu le veuilles où non, c’est moi qui ai la main. Je veux quelque chose de toi et tu n’auras ta liberté que lorsque j’aurai ce que je veux de toi. Va  voir ta fille maintenant, tu lui as manqué. C’est une enfant très vive et intelligente. Ment lui sur toi. Ne dis rien sur moi car elle a réalisé depuis longtemps que je suis un enfoiré comme elle le dirait elle-même. Mais bizarrement on s’aime bien. Je crois que c’est ça qui doit te faire le plus chier.

    La rousse tourne lentement la tête en direction des fillettes. Elle regarde particulièrement la sienne, qui semble heureuse comme un poisson dans l’eau. Quel enfant ne le serait pas, après avoir trouvé une nouvelle amie? Pétale fronce légèrement les sourcils mais ne bouge pas de sa place.

    Pétale : Laurence, tu veux bien aller m’attendre à l’intérieur? J’ai deux mots à dire à ce gros con avant qu’on parte.

    Laurence sourit d’abord, contente de pouvoir s’amuser un peu plus longtemps avec Eden. Elle grimace ensuite en regardant son amie.

    Laurence : Viens vite. Maman va soit engueuler ton père, soit elle va lui faire des bisoux et peu importe ce que c’est, je veux pas voir!

    Elle rentre avec sa copine, et Pétale regarde à nouveau le géant devant elle.

    Pétale : Tu te trompes. Ce qui me fait le plus chier, c’est que je la comprends parfaitement.

    Elle relève un peu sa robe et se saisit de son poignard, attaché à sa cuisse. En un clin d’œil, les jambes de la rousse ceinturent la taille du géant et elle lui entaille la joue avec la lame, et lèche le sang en serrant encore plus fort à l’aide de ses cuisses. Le Colombien ferme les yeux en laissant la rousse faire, sans même tenter de la déloger. La rousse finit par retomber sur ses pieds au sol, et regarde le géant en souriant. Elle essuie sa bouche avec le revers de sa main en reculant en direction de la demeure.

    Pétale : T’en fais pas, je pars pas bien longtemps, on se reverra bien assez tôt! Au fait, faudra que tu te paie une nouvelle voiture. J’ai peut-être accidentellement foutu le feu à l’ancienne. Mais c’est que des biens matériels, n’est-ce pas!?

    Elle ricane doucement, avant de se dépêcher de rentrer pour retrouver sa fille et rentrer à la maison.
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    Eden

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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyJeu 17 Juil - 14:39

    El Verdugo marche tranquillement dans les couloirs de la SOW lorsque il est interpellé par Livia.

    Livia: Verdugo, Verdugo! 

    Le colombien s’arrète et contemple la journaliste.

    El Verdugo: Livia, quelle douce voix! Quelle douce silhouette! Quel doux visage! Bien entendu, il te manque ce petit coté « pute de chantier » qui sied si bien à ta sœur. Mais tout le monde n’a pas la vulgarité nécessaire. Je pense que tu m’as hélé pour que je te parle de ta sœur, n’Est-ce pas?

    Livia: Oui entre autre. A quoi joues tu avec Pétale? Tu n’as pas besoin d’elle, tout comme elle n’a pas besoin de toi.

    El Verdugo: Détrompe toi ma belle. Notre association nous servira tout les deux… surtout moi! Regarde ta sœur, à peine revenue et déjà sous les plus glorieux projecteurs de cette fédération. Elle y trouve son intérêt non? 

    Livia: Et le tien?

    El Verdugo: Le mien est de voir les autres enrager de voir Pétale challenger de MC, le mien est de voir Pétale tutoyer les sommets pour en dégringoler aussi vite et la faire repartir du caniveau. La voir se battre contre des tocards de troisième zone, entendre la diarrhée verbale sortir de sa bouche , voilà mon intérêt. Avoir une légende de la SOW comme serpillière,c’est amusant non?

    Livia: Une serpillière Pétale? Tu rëves mon grand! Elle ne l’a jamais été et ne le sera jamais!

    El Verdugo: Et pourtant ma petite… et pourtant. Elle l’est et le rester jusqu’à se que j’obtienne ce que je veux d’elle. Et je rassure tous les micro pénis qui tentent d’avoir une vaine érection  en se frottant l’entre jambe sur ses photos et qui frustrés, pensent que je l’a veux dans mon lit, ce n’est pas le cas. Pénétrer du saindoux en plein soleil n’est pas glorieux. Pourquoi veux tu que je baises un sac à foutre qui s’est fait saucer par la moitié de la SOW? Pourquoi fourrer une chatte au sang froid alors que j’en ai une chaude comme les enfers et qui de surcroît est l’une des plus belle femme de la planète. Non, je laisse ton sac d’os à la populasse.

    Livia: Tu fais exprès de la provoquer? 

    El Verdugo: Bien évidemment. C’est notre mode de fonctionnement avec Pétale. Sans insulte, pas de dialogue constructif. Crois tu réellement que ce que je peux raconter la dérange? Crois tu que la merde qui sort de sa bouche m’agace les oreilles? Non, entre Pétale et moi, la haine est plus saine que cela. C’est une haine romantique car sans parasite. Inaltérable, éternelle presque parfaite.

    Livia: Presque?

    El Verdugo:Pour qu’elle soit parfaite, il faudrait que l’on soit mari et femme ahahahahah!

    Livia: Putain, avec toi on ne sait jamais où se trouve la vérité ou la provoc!

    El verdugo: Ne t’en fait pas, Pétale le sait.

    Livia: Méfie toi quand même, Pétale fatigue les patiences et je crois que celle de Carrie à des limites. Pétale va faire exploser ton couple. Carrie t’a déjà trahi et une femme bafouée est prète à tout.

    El Verdugo: Carrie peut me trahir tant qu’elle le désire. La trahison n’implique pas le désamour. Carrie m’aimera toujours… j’aimerai toujours Carrie.

    Livia: T’es vraiment bizarre! Parle moi de ton implication  dans la GSF, de ta non réaction face à l’agression des Russian Roulette.


    El Verdugo: Pourquoi veux tu que je réagisse? On ne peux pas réagir face au néant et les RR sont le néant. Une attaque subite  dans le dos? Ils ont bien fait!

    Livia: Bien fait?

    El  Verdugo: Bien sûr! La dernière fois qu’ils se sont trouvés devant moi, j’ai foutu une branlée au deux. S’ils n’ont pas fait preuve de courage, ils ont fait preuve de prudence.  Mais qui s’oin ses deux handicapés du vocable et de la lutte. Ils sont finis, d’ailleurs ils n’ont jamais été totalement commencé. Ils sont comme les couilles de  Black Lotus: ils ne servent à rien . En paire et encore moins en solo. Une couille esseulée, c’est triste comme une promo de Dan Spike. Parlons plutôt de la GSF. Voilà un clan peu commun. Une fabrique de Champions où les membres ne s’aiment pas, s’associent le moins possible,  et qui ne pensent qu’à leur ambitions personnelles. Mon rôle dans la Factory est très simple: Alimenter tout cela, faire que cela perdure et même que ça s’accentue. Un vrai champion n’aime personne, un vrai champion ne pêne qu’à son égo. Pour certain, je suis contraint  à leur faire douter de leur égocentrisme pour les rebooster.  Ta sœur va me lécher les pompes avant de redevenir la championne qu’elle était. Charlie va fermer sa grande gueule encore un petit moment pour l’ouvrir encore plus grand quand il sera prêt pour être Gran Slam Champion. Carrie va faire son chemin pour  obtenir la ceinture solo qu’elle mérite depuis longtemps. L’immortalité est paradoxalement impatiente. Il faut appendre et carrie à suffisamment appris. Elle est prète.

    Livia: Aimerais tu voir un luteur intégrer la GSF?

    El Verdugo: Bien sûr. Le profil idéal serait un lutteur capable de rendre fou de rage les autres membres, imbu de li même tout en étant objectif sur ses capacités , un lutteur sachant aligner deux mots correctement. Le contraire du Bestiaire en fait. Darkside , conscient du fait qu’il ne trouveras plus un partenaire de ma trempe, préfère s’entourer désormais d’amibes, d’amputés de la syntaxe, de demeurés pour faire bref. De la sorte, il peut prétendre, espérer que cela occulte son sempiternel discours d’empire ou de destruction de la SOW. Ses décérébrés débittent leur bêtises au kilomètre, agissent peu et lui, il parait être un génie en comparaison. Un Berger méprisant ses moutons.

    Livia: Rien de tout cela à la Factory?

    El Verdugo:  La Factory c’est ni dieu ni maître. Seul l’individu, l’individualité est le moteur. C’est pour cela qu’il faut avoir un certain caractère et une intelligence supérieure pour oser  nous rejoindre. Du courage aussi. Il est beaucoup plus simple de se mettre sous la coupe d’un supérieur de ne pas prendre d’initiative, d’avoir un mors aux dents pour que le maître puisse tirer sur la bride quand il le désire. A la factory tout le monde est libre. De rester, de partir, d’accepter le fait que je m’occupe de choisir leur adversaire dans la seule optique de les faire progresser dans leur cheminement …ou pas. Des lutteurs de cette trempe il n’y en a pas des masses ici. D’ailleurs il n’y en a pas je crois. Il n’y a qu’un troupeau.  Darkside le sait aussi, il n’a pas choisi le nom de son clan au hasard. Les bètes préfèrent rejoindre le troupeau. Choisir Darkside ou rester indépendant c’est implicitement la même chose. Choisir la voie de l’exigence et de l’ambition assumée en est une autre beaucoup plus difficile. Tout le monde n’a pas la stature d’un Gran Slam Champion.

    Livia: Vraiment personne?

    El Verdugo: Barbier. Mais il refuse de l’admettre. Encore un que l’on va gacher en l’enlisant dans le titre intercontinental. Dommage pour la SOW. Puta Madre, je parle trop. J’ai du travail. Et de l’amusement: Faire chier ta sœur!

    Le colombien part en allumant un gros havane.
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    Eden

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    MessageSujet: Re: Gran Slam Factory Gran Slam Factory EmptyJeu 31 Juil - 12:28

    On retrouve El verdugo au sommet d’un building Une croix est dressée sur le bord du parapet. Le colombien tient dans sa main une couronne en fil de fer barbelé, sans doute la même que Pétale.

    El Verdugo: Le bestiaire? Mouais… Le triumvirat? Bof… les clans n’ont jamais dominé la SOW. Un lutteur n’est jamais plus dangereux que lorsque il ne s’occupe que de lui sur le ring. Telle est la vocation de la Gran Slam Factory. Le bilan? Nous risquons de perdre bientôt un partenaire. Charlie Green à remporté brillamment le droit à une opportunité après sa victoire au Rumble. La GSF remplit son objectif premier qui est de faire, de construire ou reconstruire des champions. Je serai donc heureux de voir Charlie me quitter et grossir les rangs Des véritable Gran Slam Champions: Draven, Methodcobra et votre serviteur. Voilà l’esprit que je veut perpétrer. Faire des lutteurs de la GSF mes égaux, pas d’en faire un cheptel à mon service comme l’étable de Darkside. Remarque, à sa décharge, son troupeau de tocards n’a aucun avenir sinon de servir les desseins d’un seigneur et maître. Qu’Est-ce que Blacbuerry est donc allé foutre dans ce bordel? J’espère que c’est pour tenter de prendre la place de Darkside, je suis persuadé que c’est-ce qu’espère aussi le vieux. Il commence à s’ennuyer avec les… Mierda comment s’appelle ses bovins?…on s’en fout!

    Le colombien ramasse alors un marteau et des gros clous.

    El Verdugo: En parlant de bestiaire, si la GSF est une écurie de lutteurs indépendants, j’ai aussi une niche. Et la chienne qui l’occupe donne du mou dans sa laisse. AU PIED PETALE! Puta madre, tu te fous de ma gueule? Tu veux redevenir un championne respectée de tous en t’attaquant à the MOC? Pourquoi pas à  Skye Dietrich tant que tu y es?  Retourne chier dans ta caisse Pétale et occupe toi d’adversaire plus sérieux . A te contenter du TOC, tu péricliteras dans la nullité comme à  Civil War. Et puis toi qui aime les duels oratoires, les joutes verbales, les bastons dialectiques…Putain, The TOC est une synthèse de Fred Booya et de Method. Tu veux aiguiser  ta langue? Alors va sucer un taureau au attaque toi à du lourd genre Barbier ou Blacbuerry. Mais surtout n’oublie pas une chose très importante. Contrairement à Charlie ou Carrie, tu as signer de ton sang un contrat et ton cul m’aplat pour un temps. Alors va te le faire défoncer si tu veux, mais c’est moi qui choisi la queue. Et quand je souhaite le voir, ramène ton petit cul fissa! Laisse The Toc se branler sur sa supposée gloire Hardcore, je m’occupe de te trouver une bite bien dure, une bite qui te mènera vers le nirvana de ta gloire retrouvé. Mon job est de te faire participer à des combats de légendes et tu en auras qui feront jouir la légende elle-même!

    Le vampire montre la couronne de barbelés, le marteau et les clous.

    El Verdugo: Ne joue plus à la pute,redeviens la peste de lutteuse que tu étais. S’il faut te clouer à cette croix pour que tu ne te ridiculises plus, que je te plante cette couronne à coup délattes dans le crane, je suis là pour ça.  S’il te faut des croquettes ou un nonoss pour que tu files droitje suis même prèt a te donner moi aussi ce que tu veux vraiment pour expurger toute te haine. Redeviens SOW Champ et je remonte sur le ring pour que tu tentes de me foutre une bonne raclée. Alors rentre à la niche, ne bouffe plus de merde genre the MOC, lèche toi le cul et surtout montre les crocs. Evite nous le spectacle affligeant de la levrette qui attend piteusement sa saillie comme à Civil War. Adieu Pétasse Orientale, Bonjour Pétale Orientale. Et quand on appellera « Salope », ça sera parce que tu foutras des connards sur le dos en comptant jusqu’à trois.

    Le colombien s’en va en ralant.

    El Verdugo: The MOC….Putain de merde!
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