Le lendemain de sa signature de contrat à la Sanctuary of Wrestling, "La Latino Star" Antonio de La Luz est présent au sein des bureaux de la Fédération Québécoise. Pour l'occasion une dizaine de journalistes ont investi le hall d'entrée de l'immeuble, reconvertie en salle de Presse. Un pupitre a été installé afin que le lutteur Mexicain puisse s'adresser aux Médias. Tout est prêt, il ne manque plus qu’Antonio qui commence à se faire attendre. Mais "La Latino Star" arrive enfin, accompagné par sa femme Carmen ainsi que par le General manager de la SoW : Sir Wilson. Ce dernier lui fait signe d'aller s'installer au pupitre. Antonio s'exécute. Il s'installe face aux journalistes, les regarde un instant puis prend la parole :


Antonio de La Luz : Si je suis venu ici à la SoW, ce n'est pas pour révolutionner le monde de la Lutte, car LA Ligue l'a déjà fait avant moi. Je ne suis pas venu ici pour faire de la figuration, je suis venu ici pour imposer le respect. Je ne suis pas venu ici pour simplement battre vos Champions, mais pour vous faire oublier vos légendes. Je ne suis pas le futur de cette fédération, je suis déjà le présent. Je en suis pas là pour vendre des tasses avec ma tête dessus, je suis là pour vous vendre du rêve, du vrai rêve pas comme ceux qui croient déjà vous en vendre. Je ne suis pas là simplement pour lutter, je suis là pour entrer dans le Histoire. Je ne suis pas qu'une simple Superstar de la SoW, je suis "La Latino Star" Antonio de La Luz !


Antonio fait une petite pause, qui laisse le temps aux journalistes d'achever leurs notes.


Antonio de La Luz : Profitez bien de vos tête d'affiches actuelles, bientôt, même très bientôt, je serais à leur place. Un roi retrouve toujours son trône et bien moi, je retrouverais très vite ma place : en haut de la carte. Mais comme je suis un Homme humble, je vais commencer tout en bas, au niveau des rats d'égouts. Je battrai tout ceux qui se mettrons au travers de mon chemin, je battrai même ceux qui n'ont pas eu les tripes de se mettre au travers de mon chemin, comme ça, pas de jaloux ! C'est comme ça que je vais atteindre mon objectif, non pas vos Champions, mais l'étage de dessus : vos Hall of Famer ! Oui vos Champions me font plus rire qu'autre chose. A commencer par Edward Blackbuerry, un gars que je battais toutes les semaines à la UCW, autant dire que lui prendre son titre serait d'un ennui ... Ensuite le petit Willy, je l'ai connu avant qu'il se rajoute un deuxième prénoms, et c'est pas grâce à ça qu'il arrivera à me battre. Après il y a le titre Hardcore détenu par un parfaite inconnu. En même temps ça se comprend, un titre où il suffit de foutre un coup de Chaise à son adversaire, même Ravage serait capable de le gagner. Ensuite, Le N et son titre intercontinental, déjà à la WWA, je le trouvais en dessous des autres, alors ici, s'il est Champion, j'imagine le niveau ... Et enfin le titre suprême, détenu par le Dieu de l'enfer ! Hou .... j'ai peur ! Mais le petit Darkside se trompe totalement, il n'y aura qu'un dieu à la SoW : moi. Et pour cela je n'aurais même pas besoin de créer une religion comme certains, mes prouesses sur le ring provoquerons l'admiration et la vénération de tout le monde. Et enfin, l'enfer sera sur le ring face à moi. Mais les gars ce n'est vous qui m’intéressez, mais plutôt eux, le 12 Hall of Famer. Retenez bien leur noms, car avec le temps, ça fera comme pour les 12 apôtres de Jésus, peu à peu vous oublierez leurs noms un par un, jusqu'à tous les oublier et ne retenir que celui de Jésus, et ce sera moi le Jésus de la SoW !


Le lutteur mexicain fait une nouvelle pose, quelques journalistes se demandent ce qu'il raconte, mais continuent à prendre des notes.


Antonio de La Luz : Messieurs les journalistes, oubliez le Crossroad Tournament dans les semaines à venir, et consacrer vous au véritable événement de l'été : mon arrivé à la Sanctuary of Wrestling ! Merci !


Antonio quitte son pupitre et rejoint Sir Wilson et Carmen, des journalistes tentent de le questionner mais la Latino Star les ignorent et tout trois quitte la hall, laissant seul les journalistes. La caméra s’éteint.

La caméra démarre que un magnifique ciel bleu, avec comme seul tache, un magnifique soleil rayonnant ! La caméra change d'angle, et redescend une ravissante terrasse, bordé d'une jolie piscine. Allongé sur un transat, un cocktail à la main, une pair de lunettes de marque sur le nez, mais surtout, un bronzage encore plus parfait que celui que Keith Holygates a montré hier à Injection. La Latino Star remarque enfin la caméra puis la fixe. Il retire ses lunettes et s'adresse face caméra :

Antonio de La Luz : Je sait, vous m'attendez impatiemment là-bas au Québec ! Mais je préférez prendre quelques jours de vacances, sous le soleil mexicain avant de retrouver dans le froid du Québec. Ne vous en faite pas, j'arrive en fin de semaine au Québec. Les bonnes choses savent se faire attendre !

De La Luz savoure son cocktail, avant de reprendre la parole :

Antonio de La Luz : J'aurais pu revenir plus tôt et déjà rentrer dans l'Histoire en participant au premier Friday Night Blast!, mais moi, ce n'est pas comme ça que je veut rentré dans l'Histoire. je veut y rentrer par la grande porte ! Et quelle plus grande porte que le Royal Rumble de Civil War ? Je suis sérieux, ce qui fait la splendeur de ce match, c'est que n'importe qui peut le gagner. Or moi, je en suis pas n'importe qui, je suis "La Latino Star" Antonio de La Luz, Ancien Champion du Monde de la UCW, Vainqueur du Behind The Mask Tournament et dans une vie passé, Champion par équipe de la WWA.
Oui, je sais, pour gagner le Royal Rumble, il faut déjà y participer ! Mais je fait confiance à la direction, déjà qu'ils ne m'ont même pas proposé de participer au tournoi des Rookies, car je pense qu'ils connaissent mon immense talent et il savent que je suis loin d'être un Rookie !

Antonio boit à nouveau son Cocktail et finit le verre qu'il pose sur table basse à côté de lui.

Antonio de La Luz : Mais bon, savourons le moment présent, il sera bientôt temps de quitter ce paysage de rêve pour le Québec ! Vous me verrez peut être à Friday Night Blast!, enfin, s'il fait assez chaud pour que je puisse sortir de chez moi et que le chasse-neige ait déneiger les routes avant le show !

Le lutteur mexicain remet ses lunettes sur le nez et se rallonge sur son transat afin de profiter pleinement du soleil. D'ailleurs la caméra filme ce dernier avant de couper !

Antonio est vêtu, une fois n'est pas coutume d'un costard, avec la cravate qui va avec ! Le lutteur latino est installé confortablement sur un fauteuil et porte également une paire de lunettes. Cette fois-ci pas de soleil, même si le mexicain a encore les traces de son bronzage venu tout droit du Tijuana, mais belle est bien une paire de lunette de vue :

Antonio de La Luz : Bonjour Randall, je suis le Dr. Antonio de La Luz, ton psychologue. Mais tu peut m’appeler Antoine de La Lumière ou Antonio de La Loose comme tu l'as déjà fait, cela ne me dérange nullement. Tu sais pourquoi tu doit consulter un psy mon ami ? Ce n'est pas seulement pour ton style de vie totalement .. comment dire ? Excentrique, extraverti, infantile ... mmmhhh ... disons déjanté. Oui, déjanté, ça qualifie bien ton style de vie ! Non, non, non calme toi Randall, je ne dit pas que tu es débile, je parle de style de vie. Toi, tu as été quand même un grand trader, tu es donc juste un petit bureaucrate qui se cache derrière une vie de débauches et de pacotilles. Mais ceci n'est pas le thème principale de cette consultation facturée 3500 pesos, soit 212 euros ou 263 dollars Canadien. Oui, tu voit Randy, je suis un éminent Psychologue agréé de le Institut Universitaire des Sciences des Plantes, option Psychologie des Platanes, de l’Université Terrienne de Cancun ! Non ... je plaisante, pas besoin de diplôme pour être psy au Mexique, mais je diffuse quand même mes consultations partout dans le monde, enfin, là où les gens capte Mexico Psy Tv., canal 785 sur le câble. Je disais donc ... ha oui, la principale raison de cette consultation et qu'en plus de cette vie de débauches, désormais, tu fais des rêves meurtriers. Certes, c'est Fred Booya, tu n'es pas le seul à avoir fait ce rêve, mais sache que ce n'est pas bien du tout, même si c'est Booya, le maitre incontesté des Booyas, tient, ça me rappelle qu'il doit prendre rendez-vous lui aussi, Carmen ! Tu note s'il te plait !


La caméra prend un angle plus large et nous découvrons Carmen de La Luz, en rôle de secrétaire, qui note ce que son mari, enfin .. heu son patron lui dit. Mais revenons à Antonio :


Antonio de La Luz : Je disais donc, cela à beau être Fred Booya ou la reine d'Angleterre, il ne faut pas rêver de tuer les gens, sauf Justin Bieber, ce qui est toléré dans l'état de Kronosie, mais il faut avoir bu un double whisky avant de s'être endormi pour que cela soit légal. Je disais qu'il ne faut pas rêver de tuer les gens, même Booya, car ceci pénètre dans ton inconscient et entre directement dans la partie meurtrière de ton cerveau, situé dans l'arrière droit de cet organe, enfin, si tout de fois tu en possède un. Il a sans doute dû s'écrouler en même temps que les bourses ... Il faut que tu te détendent, trouve toi un passe-temps pour estomper ces folies meurtrière. Tient, vendredi, tu as un match face à Mikael Packs, tu peux en profiter pour faire connaissance avec lui. Il parait que ce gars est un véritable bosseur qui a travaillé très dure pour gagner sa vie enfin .. pour gagner une misère par rapport à moi. Mais il trouvera sans doute de quoi t'occuper l’esprit ! Donc, d'ici notre prochaine rencontre, tu tachera d'avoir trouver un passe-temps ! Mais avant de partir, je vais te donner un dernier petit conseil, ou plutôt une astuce qui te permettra de sortir plus facilement de ce cercle meurtrier : Lors du Show Spécial pré Civil War, tu tachera de perdre face à Antonio de La Luz, tu verra, ça te ferra un bien fou ! On se retrouve donc très bientôt, à très vite Randall !


Antonio fait signe à la caméra de couper. Celle-ci s’éteint, mais une autre, dans l'angle opposé prend la suite et l'on découvre, tout une équipe de tournage. Antonio enlève ses lunettes et reprend la parole, avec cette fois-ci, une voix beaucoup plus festive et heureuse :

Antonio de La Luz : COUPER !! Parfait les gars c'est dans la boite, maintenant on balance cette vidéo à Randy sur son portable juste avant qu'il ne s'endorme, et avec un peu de chance, il ne vas pas savoir si c'est un rêve, la réalité ou un truc totalement bidon. Avec ça il va peut être péter une durite et arriver totalement perdu lors de notre combat du Show Spécial ! Mais bon, 1 chance sur deux que ça marche, il a déjà péter un plomb une fois dans sa vie, pas sûr que ça remarche une seconde fois. Si ça se trouve, il va refaire le chemin inverse et redevenir un petit trader ! On verra bien !

Nous retrouvons Antonio enfin je crois, c'est sans doute lui derrière ce costume de Randy Madness. Une fausse barbe, une perruque, un chapeau et surtout la pair de Lunette officiel de Randy Madness en vente sur SoWshop.com pour seulement 13.99 $ ! Le sosie de Randy prend la parole et cette fois on en est sûr, c'est Antonio de La Luz, son accent mexicain ne nous trompe pas :


Antonio de La Luz : OH YEAAAAAAH ! C'est Antonio OH YEAAAAAH de La Luz OH YEAAAAAAAH ! J'ai un message pour toi Randy OH YEAAAAAAH ! Je veux juste te rappeler que ma défaite contre toi n'est qu'une simple erreur de parcours OH YEAAAAAAH ! Donc fait gaffe à toi Randy, la Latino Machine est en route OH YEEAAAAAAH ! Et rien ne va l'arrêter avant la conquête du Titre Intercontiental OH YEAAAAH ! Ni toi, ni le Rugbyman, ni personne d'autre ne me fera de l'ombre, un vent Latino va souffler sur la Sanctuary of Wrestling OH YEAAAAAAH ! Je vais entrer dans l'Histoire comme étant le meilleur Rookie que n'est jamais connu la SoW OH YEAAAAAAH ! C'est chiant de toujours dire OH YEAAAAAH ! T'es vraiment cinglé pour toujours dire ça Randy OH YEAAAAAAH ! Sinon, cette défaite, je ne vais pas l'oublié et dès que possible, je vais demandé réparation OH YEAAAAAAAH ! Et ça va faire mal OH YEAAAAAH !


Antonio retire tout son attirail, il pose lunettes, chapeau, perruque et la fausse barbe sur une table :


Antonio de La Luz : Bon ... j'ai été assez ridicule comme ça,. Tu voit Randall comme tu es ridicule, ta place est plus comme clown pour animé les fêtes d'anniversaire des enfants de 10 ans que sur un ring. Je sais, là tu vas dire, que c'est plutôt à moi d'aller faire ça car tu m'as battu. mais tu as eux de la chance, j'espère que tu as resté sur cette lancée de chance et joué aux Loto, car avec la chance qu tu as eux pour me battre, t'aurais pu gagner le gros lot à coup sûr ! Tu es une véritable honte pour le monde de la Lutte. C'est un sport sérieux, on a déjà eux assez de clown comme ça. Tu comprend Randall, ce que veulent les gens c'est de véritable athlète comme moi ! Ils veulent aussi de l’authenticité alors fait comme moi aussi : utilise ton vrai nom pour combattre : Randall Madnesoli ? Tu aurait honte de ce nom ? Je me demande ce que pense tes parents quand tu renie ton nom de naissance ? Les pauvres avoir un fils comme ça, j'espère que tu as au moins des frères et sœur qui relèvent le niveau !


Antonio reprend la pair de lunette et comence à tripoter et la tourner dans un peu tout les sens :


Antonio de La Luz : Mais tu sait quoi Randall, je te comprend, tu tente de te fabriquer une nouvelle identité, car aux contraire de moi, tu n'était pas heureux dans ta vie. Tu avait peut-être la belle vie quand tu étais trader, mais tu n'étais pas heureux, alors que moi j'ai la belle vie et je suis heureux. Je gagne en une journée autant que toi en un mois grâce à mes droits d'auteurs sur mes musiques et mes quelques concerts. C'est donc tout à fait normal que t'éprouves une forme de jalousie vis à vis de moi et je ne t'en veux pas ! Au contraire, je veux d'aider ! Viens, rejoint moi et je t’apprendrais à vivre heureux et surtout à vivre bien, bref tout ce que tu n'as pas réussi avant !

Une salle sombre et vide. Bien poussiéreuse. Il y a des toiles d’araignées partout et une odeur de renfermée. Pourtant, la pièce n'a pas toujours été comme ça et elle a même accueilli de grands évènements. Plus personne est entré ici depuis plus d'un an. La porte s'ouvre et se renferme assez vite histoire que la lumière ne pénètre pas trop. On a pu voir deux silhouettes entrer. Les deux marchent puis s'arrêtent.

??? : Ça faisait longtemps qu'on était pas venu ici. L'odeur est horrible ! L'interrupteur qui remettait tout en marche était ici non ?

??? : Oui. Enfin, je ne sais plus trop. Ah, je le sens !

Le mystérieux homme actionne l'interrupteur et on peut voir toutes les lumières s'allumer. L'homme qui a mis la main sur l'interrupteur n'est autre que le protagoniste M Cube. Celui qui l'accompagne est Antonio de La Luz. Les deux hommes regardent les lieux. Cet endroit gardait tout de même une certaine classe mais ça ne ressemblait pas à ce que c'était à l'époque de LA Ligue. Nous nous trouvons dans le salon de la villa du défunt clan le plus incroyable de l'Histoire, LA Ligue.

Antonio de La Luz : Revoir tout ça, ça me rappelle de bons souvenir ! Tu te souvient de ces soirées en boite ? On avait quand même la belle vie !

M Cube : Et oui. Tout ce qu'on a fait ensemble. Tu me croiras peut-être pas mais des fois, tout ça me manque. Et dire qu'on est les seuls survivants de ce clan ... Tous les autres ne sont plus en activités.

Antonio de La Luz : On était sans doute les plus sportifs du clan. Mais même s'ils ont tous arrêtés, l’esprit de LA Ligue rayonne toujours au sein des fédérations du monde entier !

M Cube : Oui, tu as raison.

Il regarde dans toutes les directions tout en marchant. Il sent le regard d'Antonio sur lui et s'arrête en le regardant.

M Cube : Je t'avouerai que revoir l'endroit où nous préparions nos plans n'était pas la raison principale qui m'a poussé à te voir. Mais je me doute que tu t'en doutais.

Antonio de La Luz : Effectivement, je m'en doutais. C'est toujours à propos de cette enquête ?

M Cube : Toujours, oui. J'en suis déjà à sept suspects interrogé. Tu es le huitième et j'espère avoir plus de succès car je commence à en avoir marre d'aller voir tout le monde.

Antonio de La Luz : Mais ne te casse pas autant la tête juste pour savoir qui te veut du bien ! Parce que si tu continue comme ça, tu ne va pas en avoir marre, tu va juste finir par péter un câble !

Le protagoniste le regarde d'un air songeur.

M Cube : Qui te dit qu'il me veut du bien ? Qui te dit que ce n'est pas un piège ? Excuse moi de paraitre direct mais tu m'as l'air bien concerné de ce que ce mystérieux individu me veut.

Antonio de La Luz : Tu vois, tu en devient paranoïaque ! Calme-toi ! Tu accuserai un membre de LA Ligue de vouloir te piéger ! Assieds-toi et remet tes idées au clair.

Les deux hommes dépoussièrent un peu le canapé du salon puis s'assoient.

M Cube : Ne m'en veux pas de poser ce genre de question, mais imagine dans quel état tu serais après avoir fait sept interrogatoires en pensant que l'un d'eux a peut être menti.

Antonio de La Luz : Ne t'en fait pas, j'oserais pas te mentir ! Ça ne me servirai à rien ! Tu veux savoir quoi au juste ?

M Cube : Tout simplement si tu es ou non ce mystérieux homme qui m'a recommandé.

Antonio de La Luz : J'aurais bien aimé te recommandé, mais quand ça c'est produit je n'avais même pas encore signé de contrat à la SoW, donc je pense pas qu'ils m'aurait écouté !

M Cube regarde attentivement son ancien partenaire. Il se met à sourire.

M Cube : Tu marques un très gros point. De plus, tu fais partie du rookie tournament. Si tu avais recommandé quelqu'un, ça aurait été toi d'abord. Je pense que sur ce point, je peux définitivement te supprimer de ma liste de suspects. Si la Ligue TV existait encore, je pense qu'on aurait pu diffuser cette enquête. Ça aurait intéressait une certaine élite.

Il fait un clin d’œil à Antonio tout en souriant.

Antonio de La Luz : Tout à fait, cette enquête aurait plu a l'élite qui suivait de près nos brillantes émissions !

M Cube : Et bien merci Antonio.

Il se lève, le latino en fait de même.

M Cube : Je te souhaite bonne chance pour le rookie tournament. Tu en auras bien besoin. Tu as entendu parler de Paul Stevenson ? Je l'ai pris sous mon aile. Évite donc les coups bas si jamais tu le croisais. Je ne sais pas s'il aura les capacités nécessaires pour te battre d'ici là mais je ferai tout pour qu'il soit prêt.

Antonio de La Luz : Moi utiliser des coups bas ? Jamais ... Et prépare le bien ton petit, car je suis dans une forme olympique, ma défaite face à l'autre clown m'a remit dans le droit chemin : celui de la victoire ! Sinon merci de tes encouragement et bonne chance à toi pour ton enquête, mais gaffe à ne pas péter un câble !

Les deux hommes se regardent avec un sourire puis se dirigent vers la sortie. Ils passent vers l'interrupteur permettant de tout éteindre.

Antonio de La Luz : Qu'est-ce qu'on fait ? On éteint tout ?

M Cube : Pourquoi ? Il se peut que cette salle resserve un jour.

Ils continuent leur marche et sortent. C'est sur ces images que l'on se quitte.