There you go, little girl.

Tu nous envoie le même discours ridicule que celui de tellement d’autres avant toi. Tu ne marques l’imaginaire de personne. Combien de rookies sont arrivés ici, ont dit qu’ils battraient les grands de l’industrie, et tout le truc.

Combien l’auront réellement fait? Très peu.
Mais voilà. Tu arrives. Tu veux t’imposer. Mais tu t’y prends de la mauvaise manière. Tu n’as même pas une victoire en poche que tu te vois déjà contre le champion oméga. Pire, tu n’as même pas un seul match de disputé.

Mais c’est pas grave, little girl. Je t’arracherai de tes rêves et je te foutrai la honte dans le centre du ring. Quand je t’aurai battue, je ne me rabaisserai pas à te passer à tabac comme tu promets de le faire si tu gagnes. Non.

Je ferai pire. Je te regarderai avec mépris. Comme la petite crétine que tu es. Je te regarderai avec le dégoût que tu m’inspires, et je partirai sans te donner une seconde d’attention de plus. Tu n’es pas une louve. Je le suis. Tu n’es qu’une petite proie sans intérêt. Je n’ai aucun intérêt envers toi, outre le fait de te fermer le clapet. Tu n’as aucune utilité. Même pas celle de me servir à gruger tes pauvres os.

Tu ne mérites pas mon attention. Ni celle de qui que ce soit. Encore moins l’attention du champion oméga. Tu ne mérites que le mépris, le dégoût et l’humiliation.

Poor trash.