Le plus dur dans ce genre d'épreuve, c'est de faire comprendre les causes et les conséquences aux autres, à ceux qui te casse du sucre brun sur le dos parce que tu ne peux pas être à ton max, comme il se doit.
Souvent, ce sont ces personnes qui ne s'investissent que très peu, très peu souvent, juste pour prendre leur enveloppe, et ils se cassent chez eux pour faire la fête, voir leurs amis. Avoir une vie.
Ce genre de personnes qui ne fait que passer de temps en temps, et qui te pointait déjà du doigt quand tu étais là tout le temps et que tu te donnais à fond... Parce que, c'est de la lèche, tu vois...
Blessé par ces gens qui m'ont pris pour un opportuniste zélé, puis comme un grand absent... Aujourd'hui, je vais bien.
Alors qu'un barbu chauve en veste en flanelle à ronds de cuir s'apprête à tamponner mon billet de retour, ces gens iront de plus belle à flatter leur égo par le dénigrement.
J'en ai plus rien à foutre.
Je vais revenir à la maison, poser ma valise, poser ma mallette, prendre une grande respiration et bosser. Tout ce temps passé loin des vestiaires, loin de la salle, c'est tout ce temps que je dois rattraper. Revenir sans cramer les étapes.
La forme est peut-être à retrouver mais, mine de rien, j'ai eu le temps de gamberger dans cette chambre à barreaux. J'ai pu regarder mon avenir, et je pourrais relever la tête désormais.
Et pour fêter mon retour, tournée générale de Pepsi Diet Coke 0% sans sucre d'aspartame !