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     La roulotte de Django.

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    Le gîtan

    Le gîtan

    Messages : 20
    Date d'inscription : 21/10/2012

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    MessageSujet: La roulotte de Django. La roulotte de Django. EmptyLun 22 Oct - 19:55

    Le temps est chaud, certainement ce qu’on appel l’été Indien. Une odeur de bœuf séché et de hérisson chaud émane d’un spot au plein milieu d’un champ de maïs. Un son de Banjo et quelques chants manouches résonne de ce petit espace à l’abri des regards. Des bambins court après quelque poule apeurés, d’autre personne sont assis la à bavasser de tout et n’importe quoi. Nous pouvons même apercevoir une foule de gens du voyage, attroupé autour d’une roulote en noisetier. Quelques lampions illuminés permettent de donné à l’atmosphère général, un air de bon vivre, d’intimisme. Sur le porche, une voix grave mais pourtant posé retentit. Tous les yeux sont braqué sur ce Rocking chair grincant. Des bottes en faux crocodile, un jeans troué au niveau des genoux, un sans manche blanc tacheté de terres et pour couronner le tout, un chapeau de paille. L’homme fume sa cigarette, gratte sa barbe de 3 jours et tousse plusieurs fois. Une petite fille arrive vers l’homme à la cigarette, apparemment en pleurs et exprime une certaine plainte.

    La petite fille : Django, Tony à volé le dernier morceau de gateau! J’en voulais encore moi ! Django, fais quelque chose !

    Django continue à fumer sa cigarette et entre deux bouffés pousse un coup de sifflet strident et claque des doigts. Un petit garçon d’environ 9ans arrive, se frottant les poignets et regardant au sol, tend sa main envers Django. Le gîtan récupère le butin du larcin. Django regarde les deux enfants dans les yeux et sort son couteau à cran d’arrêt. La lame s’approche morceau d gâteau. Les enfants tendent déja leur mains et attendent leurs « sanction »

    Django : Vous voyez, ceci est une leçon de vie. Les problèmes crées doivent se régler entres les deux acteurs concernés. Si une tierce personne ne rentre dans le duel, il se pourrait qu’un des deux parties n’y trouve pas son compte. En effet, la logique voudrait que je penche pour l’un d’entre vous. D’un autre côté, on pourrait attendre à ce que je coupe ce gateau en deux morceaux et ainsi ne léser personne, ce qui est certainement la situation la plus approprié à cette situation. Allons les enfants.

    Django abat la lame à travers ce gâteau. Les enfants attendent encore.

    Django : Mais lorsqu’on fait appel à une troisième personne, on n’est plus maitre de son destin. Les règles sont redéfinit, la chance redevient alors le facteur numéro 1. Vous sentez vous chanceux les enfants ? Pensez-vous qu’en venant me trouvé, je réglerais le problème comme un de ces idiots de citadin ? Non non non, ici ce n’est pas comme ça, nous sommes des Terwilligers, les Terwilligers ne se plaignent pas, ils règlent leurs problèmes ! Les enfants, retournés vous occupés du feu ! Moi, je mange le gâteau !

    Les deux enfants, dépités, retournent vers le centre du campement en se chamaillant. Django ne fait qu’une bouchés des deux petits morceaux de gâteau et s’adresse à nouveau à son auditoire, apparemment très amusés par cette situation cocasse.

    Django : C’est simple, il faut prendre le taureau par les cornes. La vie n’est pas simple. Oh que non, elle ne l’est pour personne. Regardez cette poule au loin.
    Une poule au bec cassé, à l’aile épouillée et à la patte cassé se déplace péniblement à travers la foule.
    Django : Il y à quelque temps cette bête n’était qu’un poussin, un poussin destiné à grandir puis à mourir. Oui, une vie simple. Mais cette poule à malgré elle, eu le malheur de croisé quelqu’un de plus grand et plus fort. Le chien du clan voisin s’était décidé à se balader en territoire inconnu. La poule n’à pas fait le poids. Mais lorsque la vie vous abandonne, quelqu’un est la pour vous récupérer. On ne sait jamais qui ni ou, il ne faut jamais perdre espoir. Pour cette poule totalement désarmé, son salut est venu de quelqu’un de plus fort et plus grande qu’elle. En effet, j’ai collé une balle dans la tête de ce foutu clébard. Et c’est ça qui à provoquer la rixe entre les Terwilligers et les Reinhardt en 2006. On aura fait un sacré repas ce soir-là. Mais ce que je veux dire par là, c’est que cette poule n’à jamais abandonné, ne s’est pas laissé périr dans un coin. Elle continuait à becter et à se faire tirer par le coq, malgré son handicap.

    Les gens semblent amusés par les histoires de Django. Une petites voix s’élève au loin. Une femme âgé s’avance à l’aide d’une canne. Bossu et marqué par la vie, la vieille femme va s’exprimer.

    Femme âgé : Tes histoires sont bien belles, toutes « poétiques », mais je te connais assez pour savoir que lorsque tu te lances dans tes monologues philosophique, c’est que tu as quelque chose à annoncer. Tu en as gros sur le cœur Django.

    La vieille femme n’est autre que la grand-mère de Django. Cette femme, ayant élevé le jeune manouche, le connait dans ses moindres détails. Chaque sentiment, chaque blessures ne peuvent être dissimulé pas le chef des Terwilliger. Sans elle, Django ne serait certainement pas l’homme qu’il est aujourd’hui.

    Django : Mado… La direction des Terwilliger va devoir se faire par intérim désormais. Je vous aie tous réunis en cette belle soirée pour vous annoncer mon départ. Oui je vous quitte, ma famille, mes amis. Oui je quitte ces terres verdoyantes qui nous m’ont accueillis à bras ouvert, je quitte ce havre de paix, je le quitte pour assurer la pérennité de la famille. Car non, les Terwilliger ne sont pas une dynastie en voie d’extinction, car aujourd’hui est arrivé le temps où nous allons sortir de notre léthargie et replacer notre nom de famille au sommet ! J’ai décidé d’aller me battre, d’aller là, ou aucun gitan n’a jamais mis les pieds ! Je vais me rendre au Canada, me battre pour autre chose qu’un état d’ébriété temporaire, me blesser pour autre chose qu’une histoire sans queue ni tête. Le début est là, mais l’histoire n’en est qu’à ses balbutiement.

    Une ère nouvelle va s’abattre, l’ère de Django « Tête de brique » !

    Django jette sa cigarette et se lève brusquement de la chaise à bascule, la foule s’écarte respectueusement à son passage. Il enlace sa grand-mère, frictionne la tête des quelques enfants sur son chemin et se dirige vers une vieille voiture rouillé. Il ouvre le coffre, sort une veste en cuir et s’empare de son sac de sport. Tout le clan applaudit, tandis que notre futur guerrier manouche s’éloigne au loin, en direction de la lune, qui fait tant rêver Django.
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    Le gîtan

    Le gîtan

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    Date d'inscription : 21/10/2012

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    MessageSujet: Re: La roulotte de Django. La roulotte de Django. EmptyJeu 1 Nov - 15:39

    Les ventilations soufflent à pleins régime et des bruit métalliques répétitifs résonnent dans une salle qui à premier coup d’œil, est vide. A mesure que le bruit métallique ralentit, des cris de souffrance augmentent. Au coin de la pièce, nous pouvons voir un homme, face à un miroir, transpirant et écarlate, réaliser ses derniers développés couchés. Django Terwilliger se relève légèrement étourdis par l’effort qu’il vient de réaliser, attrape son sac de sport et s’en va, laissant un véritable désordre derrière lui. Arrivé dans le couloir, le gîtan fidèle à son habitude de fumeur invétérer, cherche son paquet de tabac à rouler.

    Django : Bordel… Voila, pas de tabac ! D’abord la direction m’oblige à me mettre en forme et ensuite, on me confisque mes protéines ! Le Canada, c’est l’enfer…

    Le lutteur continue sa marche à travers les couloirs de la SOW et en arrivant vers l’accueil, il croise un homme, vêtu d’un trench-coat beige, ainsi que d’un petit chapeau de grande marque. Ce dernier est armé d’une pipe à tabac, que Django ne tarde pas à remarquer.

    L'homme a un sourire.

    Homme : Et bien, je vois que ça s'entraine dur ici. Je devrais faire de même si je veux garder la forme.

    Django : Ouais, j’ai pas le choix si je veux garder mon job, on m’a expliquer que d’avoir du ventre, ça f’sait pas assez « vendeur »… J’t’en foutrais du marketing. Sinon, mon frère, j’ai pas pu m’empêcher de voir que tu fumais la pipe. Si tu veux bien aider un manouche dans le besoin et me donner un peut de ce délicieux tabac, on peut s’arranger, j’aurais peut être deux-trois trucs qui pourrait t'intéresser, dans ma roulotte.

    L'homme regarde le gitan de haut en bas puis lui sourit en lui tendant sa pipe.

    Homme : Pas besoin de s'arranger. Du moins pas pour l'instant. Mais je ne pense pas que ce soit conseiller après l'entrainement.

    Django : C’est rare de voir des hommes biens de nos jours. J’ai davantage l’habitude de voir des petits caïds, des charlatans ou des tapins. Ou des types du genre de Green. Ouais, toutes ces merdes du genre humain. A mais j’y suis… Bien fringués, de bonnes manières, une bonne eau de Cologne… T’es un interviewer toi !

    Homme : Et bien, j'ai affaire à un mentaliste ici ? Vous vous y attendiez à cette interview, n'est-ce pas ?

    Django : Bah à vrai dire, j’m’attendais surtout à voir un car de CRS arrivé pour m’expulser de ce bâtiment… Mais c’est une bonne surprise de te voir. T’es le premier à venir après mon apparition télévisé à Endless Nightmare. Au fait, t’as vu ma gueule à la télé hein ? J’ai pas été juste MONUMENTAL ? J’aurais préféré que ça se passe sans accro mais bon, on peut pas avoir le hérisson et le terrier du hérisson hein !

    Homme : Excusez moi si je trouve vos expressions bizarres. Mais qu'est-ce que le bizarre après tout ? Pour moi ça l'est, pour vous non. Et ce que je fais peut vous semblez bizarre... Enfin bref. Une discussion bizarre qui commence et on va l'arrêter. J'admets que vous avez fait fort pour votre première apparition. Entrer comme si de rien n'était dans le bureau du GM qui vous a donné un ordre comme un vulgaire petit chien. C'était moins drôle mais nettement moins que ce que vous avez envoyé à Charlie Green. C'était excellent, sincèrement.

    Django : Il est génial ce tabac… Ouais, à vrai dire, la secrétaire m’avait bien chauffé aussi, alors j’suis monté en mode furie. Pas que j’regrette hein, mais juste que j’suis pas une saloperie, au contraire de ce que pense ce Green. Il pensait tellement qu’il pouvait me la mettre… Tu l’à vu débarqué, avec son air de midinette consanguin. Le mec dégageait l’odeur de la défaite à 15 mètre et il à essayer de passer sa frustration sur moi. Putain le con, il croit que c’est un jeu… Dis moi, toi qui bosse ici, ce mec la, il lui manque pas une once d’esprit et d’intellect ?

    Homme : Je dirai juste que c'est un connard de nombriliste. C'est le genre de gars qui ne voit que des ceintures dans une fédération. En même temps quand on voit le genre d'arguments qu'il est capable de sortir... Encore heureux qu'il ne s'intéresse au titre et pas au blabla. Vous êtes un dessin animé selon ses paroles.

    Django : Meeerde… C’est pire que ce que je pensais alors. Donc à ce que je vois le mec, déjà, il veut toutes les ceintures. Limite, ça passe quand on à 4 ans et qu’on est un expert de catch et de cartoon. Mais pas à ton âge Charlie, pas à ton âge ! Si tu veux, j’ai un lot de ceinture dans ma roulotte, ça pourra certainement faire l’affaire. Ah ouais, donc je suis un dessin animé… Aïe…Donc, dans to
    Donc, dans ton esprit étriqué, tu me vois comme Django, le méchant gîtan voleur de poule, celui que toi, Super Charlie, tu devras vaincre, afin de faire régner la paix dans ton univers de Connardo- Nombrilistique-Land ! Le soucis c’est que si je te casse les jambes, tu pourras pas fanfaronner l’épisode d’après, oh non. Tu t’mangera une rééducation en bon et due forme et tu hésiteras à revenir. Si je te donne une droite, c’est pas une petite bosse violette que tu vas avoir, c’est un trauma crânien et direction le CHU. C’est ça le vrai monde Charlie, c’est pas un putain de dessin animé. J’espère que la prochaine fois qu’on se verra, tu viendras pas armé d’un maillet en bois hein ? Parce que moi, j’aurais la barre à mine en fer, bien maintenu dans la main gauche.

    Homme : Et bien, on peut dire qu'il vous a énervé ce Charlie. Il a un avantage comparé à vous tout de même, il a déjà fait ses preuves ici. En étant champion puis challenger au titre hardcore. Enfin, peut-on appeler ça un avantage quand il n'a aucune info sur vous alors que vous pouvez en avoir plusieurs sur lui ? Enfin, à condition que cela vous ait intéressé. Après votre altercation avec cet homme, avez-vous pris la peine de voir de qui il s'agit réellement ?

    Django : Je me suis renseigné en effet. Comme le chat qui chasse la souris, j’attends, j’apprends, je frappe même si la proie n’en vaut pas la peine, je la traquerais par plaisir. En effet , il a fait ses preuves. Preuves qu’il était incapable de faire quoi que ce soit de potable ici. Perdre un titre contre un rookie, c’est arrivé à tout le monde, même si ma foi, c’est plutôt honteux. Perdre un titre contre un rookie qui effectuait son deuxième match, c’est le summum du ridicule. Mais ensuite Charlie, le grand Charlie Green, qui devrait déjà être multiple fois champions et détenir les ceintures par équipes à lui tout seul si on l’écoutait, n’arrive pas à récupérer un petit titre de seconde zone. Où est la puissance du type ? Où est Le pallier que tu as franchis Charlie ? Mauvai
    Mauvais et menteur, on ne peut pas croire en lui, cet homme est une blague, un sketch, un spectacle de rue minable, auquel on ne jetterait même pas un coup d’œil à la sortie de chez soi. A-t-il réellement besoin de savoir qui je suis ? Qu’il vienne me le demander ma foi, je ne suis pas foncièrement mauvais…

    Homme : Je vois. Vous comptez l'affronter ou passer à autre chose ? Ou l'affronter une fois puis passer à autre chose. Je ne sais pas, vous avez sûrement des objectifs dans cette fédération à part trouver le meilleur tabac du monde qui se trouver par chance dans ma pipe que je garde pour avoir l'air intellectuel. En effet, je ne fume pas mais enfin bref. Des objectifs ?

    Django : L’affronter ? Si Sir Wilson m’en donne l’occasion. Il est en effet rare de commencer dans une fédération et d’être directement placé comme le favori des pronostics. Le manouche en moi rêverait d’attraper Charlie par le col, de lui faire les poches et de l’afficher sur mon « Mur des lamentations »… Classe le nom ! J’ai même pas eu de copyright à respecter, parce que j’en avais rien à foutre. Mais Charlie, tel un étranger perdu dans un campement manouche devra apprendre à respecter les gîtans, à recevoir les coups d’un gîtan, à se faire trainer dans la boue par un gîtan et à souffrir, comme l’animal qu’il est. Tout un programme, qu’il est impératif de suivre, pour quiconque osera me causer, comme Charlie l’a fait. Fallait se fixer des objectifs en arrivant ici ? Merde, moi je pensais seulement que je viendrais pour rosser quelques connards récalcitrants et pour encaisser mon cheque à la fin de chaque mois ! Bah à chaud, j’dirais… M’imposer comme une valeur sûre, même si ça fait cliché et que je déteste ça. Et peut-être glaner deux-trois récompenses du genre « Le meilleur buveur de la SOW » ou encore « Le meilleur valseur de la fédération »… bah oui, j’aime bouger mon corps.

    Homme : Excellent. Et une ceinture, ça ne vous dit rien ?

    Django: Pour l'instant, c'est pas ce que je vise particulièrement, je préfère être le chasseur. Quand tu es champion, tu es à la portée de tous, tout le monde peut te manger, c'est une connerie à ne plus te faire dormir. Par contre, si on m'offre un petit bonus pour l'obtention du titre, je cracherais pas dessus... Je laisse le temps décider pour moi, je suis ouvert à tout ce qui pourrait remplir mon compte en banque. Mais pas question de se rabaisser aux basses besognes. Je ne suis pas n'importe qui.

    Homme : Être la cible quand on est le champion... Ah la la, je sais ce que c'est. Et honnêtement, ça ne me dérangerait pas de revivre ça. Vous n'êtes pas n'importe qui Django, mais moi non plus.

    Le gîtan regarde attentivement l'homme qui enlève son chapeau. Malgré tous les efforts du monde, il n'arrive pas à placer un nom sur ce visage. Une ex-victime, son expert comptable, un temoin de Jeovah ? Django fait une moue et un mouvement d'épaule interrogateur. L'homme en face de lui, sourit.

    Homme : Je suis un peu déçu que vous ne demandez même pas l'identité de votre interlocuteur avant toute chose. Imaginez que j'étais un espion au service d'un de vos ennemis ?

    Django: Désolé mon pote, mais vu ton style, on à jamais du se rencontrer avant. Les seul personnes se rapprochant de toi, j'essaie de les éviter au maximum. Exemple ? Mon avocat. Mais toi, je t'aime bien, t'as pas l'air d'être une balance ou une tarlouze alors t'as mon respect. Donc nous allons faire ça dans les règles de l'art. Présente toi à Django mon ami.

    M Cube : D'ailleurs, je peux te tutoyer ? Ca m'énerve de te vouvoyer depuis tout à l'heure mais comme tu m'as pris pour un interviewer... Je suis M Cube.

    Il tend la main vers le gitan.

    Le manouche y voit plus clair et serre la main de la superstar M Cube. Les deux lutteurs se dévisagent et se sourient, comme si ils se connaissaient depuis maintenant plusieurs années. M Cube offre son tabac à Django et les deux sortent du bâtiment ensemble.

    Django: M Cube, tu m'plais bien, laisse moi t'inviter à prendre le breakfast avec moi, après tout, tu as pris du temps pour moi, j'aurais certainement pas été aussi patient avec un nouveau lutteur. Ah et... tu peux me tutoyer, tu seras certainement le seul d'ailleurs.

    M Cube : Bien. Je suis partant pour un petit... Et bien, tu m'invites, donc je te laisse le choix du repas en tant que bon gentleman.

    Django et M Cube s'en vont tous les deux, vers un repas bien mérité. Les deux auront certainement encore l'occasion de se rencontrer à plusieurs reprises.


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