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     La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS)

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    Fredounet

    Fredounet

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    MessageSujet: La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) EmptyLun 24 Déc - 16:11

    Promo des soirées de Noël des lutteurs de la SOW

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    Fourecks

    Fourecks

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    MessageSujet: Re: La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) EmptyLun 24 Déc - 18:35

    La table n’était pas encore débarrassée du repas familial, et les membres de ceux-ci étaient massés dans le grand lit, avec un film sur l’écran géant. Les images animées étaient maintenant ignorées par les jumeaux qui étaient à deux doigts de s’endormir, remplis de nourriture et de confort, reposant de chaque côtés de leur mère qui était tout aussi satisfaite du moment. Fourecks passa une main sur la tête de son fils quand celui-ci murmura quelque chose dans son sommeil avant de se serrer davantage contre elle. Sa fille elle, était confortablement étendue pratiquement en travers des deux adultes, les bras autour de celui de Richard qui semblait aussi somnoler paisiblement.

    Ne voulant pas tomber endormie tout de suite, elle repoussa les petits bras et les petites jambes de son chemin pour s’extirper du lit et aller s’allumer une cigarette sur le balcon, admirant le panorama de l’ile montagneuse appelée Hawai’i et l’océan infini autour de ce petit paradis terrestre. La vue faisait du bien; mais les pas furtifs de son petit homme lui firent écraser sa cigarette pour faire plaisir au jeune homme qui se réfugia dans ses bras, encore endormi.

    « Joyeux yuletide, mom. Je t’aime. »

    Elle le regarda s’installer confortablement à ses côtés, tentant de se rapprocher de sa mère le plus près possible sans avoir l’air de vouloir lui grimper dessus comme un bébé. Fourecks lui lanca le bras autour du cou, ne sachant pas trop quoi dire – ou plutôt, ne voulant pas le dire tout haut. Les deux regardèrent au loin, admirant la lueur du soleil couchant sur la ville illuminée assez festivement.

    Elle ne voulait pas être inaccessible, mais en restant dure, elle s’assurait que ses enfants ne seraient pas gâtés, qu’ils s’assurent eux-même de leur autonomie. Elle voulait éviter de tomber dans le clichés, ou les familles se rassemblent et célèbrent des fêtes païennes et chantent la gloire du gars Jésus à tort et à travers, parce que rien de tout ca n’mportait. Fubar était ailleurs à célébrer une courte vacance de luxe en compagnie de son père vieillissant, comme quoi les festivités étaient justifiables : ne pas être seul au tournant de l’année est plus important que n’importe quelle autre tradition. Un peu de compagnie bien humaine, un sentiment de paix, un bon repas et une soirée sans programme. On dirait presque une vie normale. Presque…

    Elle colla son front contre la tête du jeune homme, lui collant un baiser contre la tempe.

    « Il n’est pas encore minuit, dear one. »

    Il haussa les épaule, rendant le baiser affectueux. Il savait bien qu’il devait forcer sa mère un peu, mais il savait comment s’y prendre pour éliciter d’elle la réaction voulue sans avoir à insister. Il savait que sa mère était une dure, mais il était déjà assez sage pour pousser la Sauvage à les traiter comme ses enfants, avec tout l`humanité du rôle de Matriarche. Il comprenait la séparation drastique des deux mondes de cette femme qui lui avait donné la vie, et son propre rôle en tant qu’ancre pour elle. Peut importe qui elle était quand elle travaillait, qu’elle était invisible à ses yeux. Ce soir elle était mom.

    « Pas grave, je t’aime quand même. »

    « Va réveiller ta soeur, vous pouvez ouvrir vos cadeaux tout de suite. »

    « On peut les ouvrir demain aussi. Ils seront encore là. »

    Elle jeta ses bras autour du jeune homme, le serrant de ses bras puissants à lui en tirer un petit son étouffé. Demain, elle devra bosser pour pouvoir retenir sa ceinure, mais ce soir, elle pouvait être au repos, à apprécier les deux bénédictions les plus importante de sa vie.

    “Love ya too baby. Joyeux Noel.”
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    Charlie Green
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    Charlie Green

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    MessageSujet: Re: La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) EmptyMar 25 Déc - 19:41

    À peine quelques minutes après que Showdown soit terminé, on voit sur l’écran géant de l’endroit une vidéo d’une grande maison très chic et avec beaucoup de décoration de Noël. Seulement 2 voitures sont stationnées dans l’entrée et la caméra se dirige lentement vers la porte. Charlie Green est posté devant celle-ci et il a la tête basse. On constate donc que la vidéo date d’avant Showdown puisque le géant faisait partie du spectacle de ce soir. Green prend une grande respiration et il cogne à la porte d’une façon si décidée et si reculée en même temps. Après environ 30 secondes d’attente devant la porte, un jeune garçon d’environ 12 ans répond à la porte. Charlie constatant que la porte s’ouvre mais ne voit personne regarde vers le bas et remarque le jeune homme au bas de la porte.

    Charlie Green :
    Salut mon bonhomme, tu es seul ici dit moi ?

    Le jeune homme regarde son interlocuteur de façon si étonnée et si joyeuse à la fois. Il tente de contenir sa joie de voir le lutteur de proche pour la première fois de sa vie et il met sa main sur sa bouche comme pour s’empêcher de crier de joie mais il répond.

    Jeune : Non, je ne suis pas seul, mes parents sont ici, c’est Noël après tout, je ne peux pas être seul à une journée comme ça.

    Green le regarde avec un certain bonheur dans les yeux et lui pose sa grosse main sur la tête pour lui flatter les cheveux mais sa main est tellement grosse qu’il lui empoigne la tête totalement.

    Charlie Green :
    Est-ce que tu pourrais aller leur demander de venir me voir, j’aimerais leur demander quelque chose.

    Le jeune homme gambade de joie sans répondre vers l’intérieur de la maison et il revient très rapidement vers la porte avec sa mère qui est derrière lui. Une dame dans le début de la soixantaine plutôt bien conservée pour son âge. Elle est toute petite à côté du géant lutteur qui se poste devant elle.

    Mère :
    Ch… Charles ?

    La dame se met la main sur la bouche elle aussi comme pour s’empêcher de crier à tue-tête mais après quelques secondes à regarder Green devant, elle se met à pleurer à chaude larme. Elle pleure tout en regardant Charlie, sans bouger elle semble subjuguée par la présence du géant. Green la prend dans ses bras comme pour la rassurer.

    Charlie Green :
    C’est bien moi maman, c’est bien moi.

    Dit-il d’une voix qui suscite le réconfort même venant d’un géant comme lui.

    Mère :
    Comment as-tu pu ne pas revenir depuis toutes ces années où tu es sorti de cette prison dans laquelle tu t’étais renfermé toi-même?

    Charlie Green : Allons maman, entrons si tu veux, je t’expliquerai.

    La mère se recule de l’étreinte du géant en s’essuyant les larmes qui coulent encore sur ses joues.

    Mère :
    Oui c’est vrai, viens entre.

    La mère recule encore un peu vers l’intérieur du passage qui mène au salon pendant que Charlie se penche pour entrer dans la maison. Il se souvient des moments passés ici lors de sa tendre enfance et de tous les conseils de mère qu’elle a pu lui prodiguer lors de ceux-ci. Il défait donc ses cordons pour enlever ses souliers comme sa chère mère lui a si souvent dit de faire lors de sa jeunesse. Green suit donc la dame qui va devant lui d’un coup d’énergie qu’on n’aurait jamais pensé voir venant d’une femme de la soixantaine comme elle. Arrivés au salon, Charlie se penche à nouveau pour passer la porte quand un grand homme presque aussi grand que lui se lève d’un bond de sa chaise berçante. L’homme lui aussi d’une soixantaine de printemps se dirige vers le lutteur et l’empoigne entre ses 2 gros bras comme jamais il a donné de l’affection à quelqu’un avant et il sert l’ex prisonnier dans ses bras très fortement.

    Charlie Green :
    Papa, papa, ne me sert pas aussi fort, ne teste pas mon endurance tu le sais que je me suis endurci maintenant.

    Père : Je sais, je sais. Mon grand homme.

    Le père marque une pause dans ses paroles qui semble une éternité. Il regarde son fils comme si ce dernier était la plus belle chose au monde durant plusieurs secondes. Pour briser le silence, Charlie tente une parole.

    Charlie Green :
    Je … papa … tu peux t’asseoir tu sais … et maman aussi … assoyez-vous.

    Les parents de Charlie s’assoient tous les 2 sur le divan chaque côté du jeune homme qui, comprend-on est le frère du géant.

    Charlie Green :
    Alors voilà, papa, maman, je suis ici ce soir pour la première fois depuis longtemps parce que cette fois, je pense que je suis sur la bonne voie. En quelques sortes. Je n’étais jamais revenu avant parce que j’ai voyagé beaucoup après la prison. J’ai appris la lutte et les arts martiaux mixtes en prison et j’ai peaufiné mes arts en voyageant partout à travers le monde vous savez. Je n’ai pas donné de nouvelles parce que je ne savais pas où tout ça allait me mener. Voilà maintenant après près d’un an dans la même fédération de lutte, je peux croire que je suis maintenant un peu mieux établi.

    Les 3 personnes sur le divan devant le géant le regardent avec un tel plaisir et avec un grand étonnement. Charlie regarde sa mère avec une tendresse qu’on ne lui avait jamais connu avant.

    Charlie Green :
    Et vous, je peux constater que vous m’avez fait un petit frère pendant que j’étais encore en prison.

    Mère : Oui mon grand, comme on ne savait pas trop ce qui allait advenir de toi et qu’on avait encore beaucoup d’amour à donner, qu’on ne pouvait pas vraiment t’en donner autant qu’on l’aurait voulu, on a décidé d’avoir un autre enfant. Comme ça, à la fin de la quarantaine, on a décidé d’avoir un autre enfant sachant pas vraiment si on allait pouvoir l’avoir à terme, compte tenu de mon âge, on a tout de même projeté d’adopté si ça ne fonctionnait pas.

    Charlie Green : Et donc, mon petit frère, il est vraiment mon petit frère ou il a été adopté ?

    Mère : Oh non, je t’assure, c’est vraiment ton petit frère, il est comme toi. Il aime la lutte et les combats ultimes comme il appelle.

    Jeune :Ouais c’est vrai ! J’aime la lutte, je t’ai vu souvent à la télé dans la dernière année ! Comme ça, tu es mon frère ?

    Charlie s’esclaffe de rire et regarde son jeune frère devant lui et garde le sourire que ce rire lui avait prodigué.

    Charlie Green :
    Ouais c’est bien ça je pense. Alors si c’est bien ça, je dois savoir ton nom n’est-ce pas ?

    Jeune : Moi c’est Alex, et toi ce n’est que ton surnom Charlie c’est ça hein ? Maman t’as appelé Charles tantôt.

    Charlie Green : Ouais.. Il y a bon nombre d’année que personne ne m’avait appelé Charles tu sais. Enfin, sans vraiment le savoir. À la prison, on m’appelait le tueur, à la lutte, on m’appelle Charlie ou l’ex prisonnier. Ça fait spécial de retrouver son prénom.

    Alex : Wouah ! Et alors, raconte-moi ce que tu as fait depuis ma naissance je ne t’ai pas connu en tant que frère mais ça fait presqu’un an que je te suis à la télé, même si maman dit que c’est violent ces choses-là. Elle et papa n’ont jamais regardé un de tes combats. Ils ne devaient pas savoir que tu luttes.

    Charlie entreprend de lui raconter toutes ces aventures devant un petit frère et des parents très surpris de toute l’histoire qui entoure leur géant de fils ou de frère. Ils lui parlent et posent des questions durant environ une heure.

    Mère :
    Alors cette Sunka dont tu nous parles … c’est ta copine ?

    Charlie Green : Ho mais bien sûr que non. Ce n’est qu’une personne que j’ai appris à respecter autant que vous avez pu me l’apprendre toi et papa. Je l’aime autant que je peux la détester tu sais maman. À cause d’elle, je n’ai pas eu la ceinture Hardcore pour une 2ième fois. Mais j’ai quand même vécu de belles choses grâce à elle. Elle aussi j’en suis certain, mais elle ne l’avouera pas elle.

    Mère : D’accord, et ce Billy Dirnt que tu as fait viré?

    Alex : Ouais, lui tu en a réentendu parler depuis qu’il est parti ?

    Charlie éclate de rire.

    Charlie Green :
    Non jamais, il est probablement en train de faire encore de la poudre avec Mikhail et il doit avoir oublié toutes les notions de lutte qu’il a appris.

    Alex : Et là, tu es dans la course pour le titre Intercontinental ? Tu vas aller le chercher le titre des mains de Croc hein ?

    Charlie Green : Je vais tout faire pour y arriver Alex, je vais tout faire.

    Alex se lève d’un bond et il va dans un gros coffre de jouet et il en sort une ceinture réplique jouet du présent titre Intercontinental de la SOW et il la tend à son grand frère.

    Alex : Regarde Charles, tu vas l’avoir toi aussi cette ceinture.

    Charlie Green : C’est encore mieux mon petite, encore mieux. J’irai chercher le vrai. Quand j’aurai la ceinture sur mon épaule, je vais penser à toi fort, et quand j’aurai quelques minutes entre 2 combats, je viendrai vous la montrer de plus proche. Je vous le promets. En attendant, ton grand frère doit partir parce que j’ai un combat bientôt et je dois me préparer.

    Sans dire un mot de plus, laissant sa famille encore sous le choc de sa présence, Charlie tourne les talons et quitte la maison l’air fier du geste qu’il vient de poser.
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    MessageSujet: Re: La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) EmptyMer 26 Déc - 6:11

    En ce soir de Noël, nous nous retrouvons dans les backstages de la Sanctuary of Wrestling avec un enfant de six ans. En apparence, il a l'air normal. Sain. En bonne santé. La vérité, c'est qu'il est atteint d'une maladie rare au cerveau. Accompagné de ses parents, il se réjouit à l'idée de rencontrer une de ses superstars favorites. Arrivés devant la loge, grand moment de stress. Sera-t-il gentil?

    Darren : Je peux?

    Mère : Biensûr, tu verras s'il est là.

    Le petit prend son courage à deux main et toque à la porte d'une loge qui n'est pas inconnue des fans de la SoW : la loge des Filmores. C'est Syd lui même qui vient ouvrir.

    Syd Filmore : Alors c'est toi, le grand Darren! Quel plaisir de te rencontrer!

    Filmore avait fait entrer tout le montre dans une loge presque rangée, avec les valises prête. Lui même n'était plus en habits de ring mais en jeans et T-Shirt. Fidèles à ses habitudes, le Trouble Seeker portait un t-shirt "J'ai rencontré le grand Darren! Ca, c'est une superstar!".

    Darren : Je suis fan de toi depuis la RLF, même si les gens ils disent que t'es méchant. Moi je sais que t'es gentil.

    Syd Filmore : Ils disent que je suis méchant?

    Darren : Tout le temps!

    Syd Filmore : Tu trouves qu'il y a des lutteurs méchants, toi?

    Darren : Oui! Lionheart!

    Syd Filmore : Il n'est pas si méchant que ça, tu sais. Il est juste pas très intelligent!

    Darren : Mais il t'as volé le titre!

    Syd Filmore : C'est pas un drame ça, bientôt, Sarah et moi reprendrons ce qui est à nous. Et puis j'irais chercher celui que tu as sur ton épaule, on devra se battre!

    En effet, Darren porte sur son épaule le titre suprême de la SoW, signé par Pétale.

    Syd Filmore : T'as rencontré Pétale?

    Darren : Oui! Elle est gentille! J'ai rencontré sa soeur, aussi... Elles se ressemblent beaucoup! Tu les connais?

    Syd Filmore : Je connais bien Pétale, oui! C'est ma meilleure amie!

    Darren : Et Sarah alors?

    Syd Filmore : Sarah c'est mon épouse, tu sais? Regarde, ça c'est ma bague. Elle est jolie hein?

    Le petit acquiesse, tout en ayant le regard qui parcourt la loge.

    Darren : Elle est pas là, Sarah?

    Syd Filmore : Elle est partie se changer, je crois.

    La mère de Darren immortalise la rencontre des deux, avec un Syd souriant, très humain. Darren est aux anges, et la mère sort de son sac un titre et des posters de Syd.

    Mère : Regardez, Syd, ça, c'est une réplique de votre titre RLF... Il a aussi le DVD "The Chicago Made Story", et des posters. Vous et Pétale êtes ses deux idoles. Et depuis peu, il est amoureux de Sarah. Faites attention.

    Syd Filmore : Amoureux de Sarah?

    Darren : Oui...

    Syd Filmore : Il va falloir qu'on règle ça, alors! Tu as vu ce que j'ai fais à WTB tout à l'heure?

    Le petit sourit et mime le coup de poing que Syd a mis à WTB lors de Showdown.

    Syd Filmore : Tu étais mon ami, Darren... Maintenant c'est fini, puisque tu veux me voler Sarah

    Syd, en riant, place le petit sur ses épaules, devant le regard peu rassuré de ses parents. Il le lance comme s'il allait faire un GTS mais le rattrappe vite, le petit s'aggripant à son coup pour lui faire un calin.

    Syd Filmore : Tu sais ce qu'on va faire, Darren?

    Darren : Non.

    Syd Filmore : On va aller chercher Pétale et Sarah et faire une photo avec elle, d'accord?

    Mère : Nous n'avions que dix minutes, monsieur Filmore.

    Syd Filmore : Je ne suis pas une machine, je prendrais le temps qu'il faut pour lui. Chaque rencontre est importante pour nous aussi.

    Mère : C'est que... vous devez fêtez votre Noël aussi, la quasi totalité du roster est déjà partie.

    Syd Filmore : Ne vous inquietez pas pour moi, j'ai largement le temps. D'ailleurs, vous me donnez une idée. Vous avez quelque chose de prévu ce soir?

    Mère : Non...

    Syd Filmore : Alors Darren va vivre un Noël de lutteur... J'suis sûr que Pétale a encore de la place chez elle. Il va rencontrer Booya, Sarah, Meredith, Pétale, sa soeur, M Cube... Nous fêtons ensemble.

    Mère : Waw... On ne peut pas s'immiscer comme ça

    Syd Filmore : Ce n'était pas une question. Détendez vous et profitez de cette soirée. Vous êtes fatigué, cette soirée est votre. D'ailleurs, j'irais vous chercher un cadeau en ville demain matin. Et vous vous entendrez bien avec Sarah qui appréciera beaucoup votre robe.

    Ni d'une ni deux, Syd se met en route avec le petit dans les bras, alors que sa mère pleure de joie en marchant. Ils se dirigent vers la loge de Pétale, où Sarah devait se rendre après s'être changée... Un coté humain des lutteurs qui ressort à Noël...
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    Eden

    Eden

    Messages : 1086
    Date d'inscription : 11/02/2012

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    MessageSujet: Re: La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) La soirée de Noël (pas le droit de se servir de ses promos pour les autres comme les HS) EmptyVen 28 Déc - 10:30

    Quelques heures avant le show. Devant l’aréna, une foule se presse devant les entrées. Certains achètent le dernier t-shirt de sa star préférée, d’autres, attendent pour avoir du pop-corn et du soda. Les enfants sont impatients et ont des étoiles dans les yeux. Un peu en retrait, observant cette fourmillière, El verdugo parait songeur et sourit en observant un jeune garçon qui tire son père par la manche, pressé qu’il est de s’installer pour voir le show. Que pense cet enfant de dix ans? Que représente pour lui la SOW et la lutte? Le colombien ferme les yeux…

    La Lutte. Un thème d’entrée qui stoppe le brouhaha de l’aréna. Les lumières qui baissent. Les effets pyrotechniques qui explosent. La joie. La fébrilité. L’appréhension aussi de voir mon lutteur préféré. Celui qui m’ accompagne depuis toujours. Celui qui me fait rêver. Celui qui me fait pleurer quand il perd. Quand on va voir la SOW, c’est toujours un peu ses dix ans que l’on vient retrouver.

    La Lutte. Sur le fronton de l’aréna, SOW écrit avec d’immenses néons rouges. Et devant , plein de visages inconnus de qui l’on se sent tout de suite complice. Et jaloux aussi. Parce je voudrai l’avoir pour moi seul ce lutteur. Il est à moi,il m’appartient. Je suis le seul à mériter de porter son T-shirt. J’ai tout vu, tout lu sur lui. Il connaît tout de moi aussi j’en suis sûr. La SOW. La vie, la mort en une soirée. Les tenues extravagantes, les masques bariolés, les strass, les paillettes pour me rendre gai. Les larmes que l’on cache dans son mouchoir quand le héros perd contre le méchant. Quand on va voir la SOW, c’est toujours un peu ses dix ans que l’on vient consoler.

    La lutte. Le lutteur est là, tout proche. Dans le halo de lumière qui le mène jusqu’au ring. Il n’a jamais été aussi prés, il n'a jamais été aussi loin. La sow. La vie qui défile. Les années qui passent. Les lutteurs qui se succèdent, qui disparaissent. La lutte. L’émotion facile. Un peu bêta, un peu premier degré comme disent mes copains qui se moquent de moi en me disant que c’est du chiqué. La SOW. Les lumières qui baissent dans l’aréna. Les enceintes qui explosent et déversent la musique. Mal aux oreilles. Cœur qui bat. Éruption d’étincelles. Mal aux yeux. Estomac qui se noue. Enfin il entre. Je crie, j’applaudis la vraie vie dans un carré de lumière. Quand on va voir la SOW, c’est toujours un peu ses dix anx que l’on vient applaudir.

    Une jeune fille haute comme trois pommes se plante devant le géant .

    Dépèche toi Verdugo, ça va bientôt commencer!
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